lundi 22 novembre 2010

L'iPad 2.0 attendu au printemps 2011

L'iPad 2.0 attendu au début 2011

Edition du 22/11/2010 - par Jean Elyan, avec IDG NS
L'iPad pourrait bien être le cadeau new tech des Fêtes de fin d'année, mais les acheteurs potentiels auront peut-être envie d'attendre début 2011, alors que les rumeurs concernant la sortie d'un nouvel iPad se font un peu plus nombreuses.
Fin septembre, Apple affichait un total de 7,46 millions d'iPad vendus, et l'entreprise escompte encore une fin d'année chargée pour sa tablette version 1.0. Disponible via les réseaux Apple, l'iPad est également vendu aux États-Unis par l'intermédiaire de partenaires importants comme Best Buy, Fry's et Wal-Mart. Et, selon certaines informations, il n'est pas impossible que le détaillant TJ Maxx dispose d'un stock limité de tablettes pour terminer l'année. Si bien qu'il y aura peut-être des affaires à faire, surtout si Apple a dans l'idée de réduire ses stocks en prévision d'un iPad 2 .0. Si l'on se fie à ces rumeurs, on commencera sans doute à entendre parler d'un iPad de prochaine génération à partir de janvier. Selon Digitimes, une agence basée à Taiwan, Apple aurait également demandé à ses fournisseurs de composants de se préparer pour l'iPad 2, et de prévoir de démarrer un calendrier de production en février. Pourtant, même si la plupart des observateurs et des analystes s'attendent à voir un iPad remanié début 2011, soit un an après le lancement de la première version de la tablette d'Apple, les rumeurs concernant ce périphérique restent très limitées. En prévision, voici ce qui se dit aujourd'hui au sujet de cette version 2.0 de la tablette d'Apple.
FaceTime comme sur les Mac, l'iPhone et l'iPod Touch
Il est assez clair que le futur iPad sera doté de FaceTime, le standard d'Apple en matière de chat vidéo mobile, lequel a fait ses débuts avec l'iPhone 4, avant d'apparaître sur l'iPod Touch en septembre. Il serait donc assez logique de le voir sur le futur iPad. D'après les nombreux avis émis à ce sujet, on sait depuis le mois de février qu'il y a de la place dans la structure interne de l'iPad actuel pour ajouter une caméra. En septembre, une source anonyme disant «être informée au sujet des futurs produits d'Apple » a même déclaré au site Apple Insider que le constructeur testait activement une version de FaceTime pour l'iPad.
Une ou deux caméras ?
Si l'iPad de prochaine génération est livré avec FaceTime, le dispositif aura forcément besoin d'une caméra frontale. Mais le débat actuel repose plus sur l'ajout ou non d'une autre caméra à l'arrière du dispositif. Fin octobre, des analystes de la société d'investissement Detwiler Fenton on déclaré que, suite à une enquête menée auprès des fournisseurs d'Apple, ils sont en mesure d'affirmer que le futur iPad aura aussi une caméra de 5 mégapixels à l'arrière. Reste que l'on peut se demander si une telle caméra a vraiment son une utilité sur la tablette ? Sur la Galaxy Tab de Samsung lancée récemment, de nombreux tests montrent que l'utilisation de l'appareil photo de 3,2 mégapixels présent sur ce dispositif, reste très maladroite. Si la prise de photos avec un appareil doté d'un écran de 7 pouces donne des résultats aussi médiocres, on peut imaginer ce que cela pourrait donner avec un appareil doté d'un écran de 10 pouces...
Du mini USB à la place du connecteur pour le dock

En septembre, des analystes de Goldman Sachs, cités par Bloomberg, avaient émis l'hypothèse que l'iPad à venir, en plus d'être plus mince et plus léger, serait doté d'un mini port USB, lequel remplacerait le connecteur à 30 broches, utilisé pour le dock, dans la version actuelle de l'iPad. Une mise à jour bien improbable quand on sait que la solution du connecteur propriétaire permet de dicter sa loi aux partenaires de l'écosystème accessoires.

jeudi 18 novembre 2010

Corriger ses fichiers Google Docs depuis Android ou iOS

Corriger ses fichiers Google Docs depuis Android ou iOS



Edition du 18/11/2010 - par Maryse Gros

On pouvait déjà faire des modifications depuis son mobile sur les feuilles de calcul des Google Docs. Sous peu, on pourra aussi saisir des textes en marchant.
Il sera bientôt possible de corriger un document Google Docs depuis son smartphone. Sur son blog officiel, Google annonce que cette fonctionnalité sera disponible dans les prochains jours. Où que l'utilisateur se trouve, explique le développeur maison Andrew Grieve, par exemple sur le trajet domicile/bureau, il sera possible de commencer à travailler et d'annoter ses documents dont les modifications seront suivis en temps réel par ceux qui partagent ces fichiers en ligne.

Google Docs editing
Cliquer ici pour agrandir l'image

Les premiers servis seront les utilisateurs de langue anglaise utilisant Android avec Froyo (version 2.2) ou un terminal sous iOS, possesseurs d'iPad inclus. Google promet « pour bientôt » le support des autres langues.

La possibilité d'effectuer des modifications dans les feuilles de calcul (spreadsheets) de Google Docs était déjà disponible depuis longtemps (février 2009).

mercredi 17 novembre 2010

SFR fait évoluer sa neufbox

SFR fait évoluer sa neufbox



Edition du 17/11/2010 - par Relaxnews

L'opérateur a présenté sa "neufbox Evolution", une offre combinant décodeur et box plus modernes à un forfait triple play premium. Compatible avec l'ADSL, la fibre optique, la 3D, le Wi-Fi, ou encore la 3G+, cette nouvelle formule est proposée à 34,90 euros par mois, soit un tarif plus élevé que les forfaits classiques existants.
Présentée comme l'aboutissement de deux années de recherche et développement par SFR, l'offre "neufbox Evolution" propose une nouvelle box et un décodeur dotés des dernières technologies de connexion et de communication, ainsi qu'un nouveau forfait premium. Elle ne remplace pas les offres neufbox existantes chez l'opérateur, mais vient plutôt la compléter.

Cette neufbox Evolution, "éco-conçue" et "développée dans le respect de l'environnement", est 40% plus petite que l'ancienne, et fabriquée à partir de plastiques plus résistants et de matériaux recyclables à 70%. Elle est également moins gourmande en énergie (sa consommation électrique est 30 à 40% inférieure aux autres box du marché, selon SFR), et dispose de boutons permettant à l'utilisateur d'optimiser la consommation énergétique.

Par ailleurs, elle est bardée de connexions. Elle est ainsi compatible avec l'ADSL et la fibre optique, dispose du WiFi (802.11n à 300 Mbit/s), de six ports Ethernet très haut débit, de deux prises USB, de la technologie de réinjection de signal VoIP, et d'un slot pour clé 3G+. Vendue en option (19 euros), celle-ci permet d'assurer la continuité sans frais supplémentaire des services Internet et téléphonie fixe en cas d'incident sur la ligne. Elle peut également être branchée sur un ordinateur pour surfer sur le Web (3h de connexion offertes).Evolutive, elle dispose de modules de connexion qui permettront, par exemple, d'y glisser un boîtier "fem to cell" afin de créer son propre réseau 3G à domicile.

Une offre un poil plus cher

Le décodeur se présente quant à lui comme un serveur média, qui permet de naviguer sur son bouquet TV mais aussi d'accéder à l'ensemble des contenus multimédias du foyer. Le boîtier est associé à une télécommande radio omnidirectionnelle, afin d'assurer une navigation depuis n'importe quel endroit de la pièce, même si le décodeur se trouve dans un meuble fermé. Le décodeur est compatible avec les contenus Full HD 1080p et les vidéos en 3D. Il intègre un disque dur de 250 Go, et permet de stocker, visionner et partager toutes sortes de fichiers (musique, photos, vidéos, etc.), mais aussi de les partager avec un ordinateur, un smartphone, une console de jeux, ou un support de stockage externe (clé USB, disque dur multimédia, etc.).

L'offre neufbox Evolution est proposée au prix de 34,90 euros par mois (ou 29,90 euros via l'offre Multi-Packs), soit 5 euros de plus que l'offre neufbox existante. SFR indique que sa nouvelle formule s'adresse aux utilisateurs exigeants, à la recherche d'un équipement performant et de services premiums.

L'iPhone, le nouveau billet de train des iDTGV

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mardi 9 novembre 2010

Blacksheep, une extension Firefox pour lutter contre Firesheep

Blacksheep, une extension Firefox pour lutter contre Firesheep

Pour Syntec numérique, la reprise de l'emploi est modeste mais visible


A l'occasion de sa conférence de presse semestrielle, le syndicat professionnel des SSII, sociétés de conseil et éditeurs de logiciels, rebaptisé Syntec numérique, a indiqué que 35 000 recrutements étaient attendus d'ici la fin de l'année pour un total de 3 000 à 5 000 créations nettes d'emploi.
Rebaptisé Syntec numérique, la fédération professionnelle des éditeurs, SSII et sociétés de conseil en technologies confirme la retour progressif à la normale sur le front de l'emploi.  Le secteur renoue avec la création nette de postes en 2010, sous l'effet du redémarrage de l'activité et de la reprise du turnover. 35 000 recrutements sont attendus (dont 26 000 cadres IT) en 2010 pour un total de 3 000 à 5 000 créations nettes d'emploi. « Le secteur a vécu une année 2009 catastrophique », a rappelé Philippe Tavernier, président de la Commission sociale, emploi et formation chez Syntec numérique, à l'occasion de la conférence de presse semestrielle du syndicat professionnel, et d'ajouter: « on peut à présent parler d'une reprise modeste, mais visible. Certes, nous sommes loin des années 2008, période au cours de laquelle 40 000 recrutements avaient été réalisés. Mais, en 2009, les entreprises ont beaucoup freiné l'emploi, surtout au cours du second semestre et il faut un certain temps afin de relancer le processus.»

8 entreprises sur 10 pensent embaucher un cadre IT

En outre et pour 63% des entreprises interrogées, les création nettes d'emploi étaient à la hausse en 2010. Elles sont restées stables pour 31% d'entre elles et en baisse pour 5%. Un peu plus de la moitié des PME  (56%) ont revu leurs prévisions à la hausse, alors que pour 42%, les créations nettes de postes se sont stabilisées. Seules, pour 6% des entreprises de taille moyenne, les créations nettes d'emploi ont reculé en 2010.
Le secteur des activités informatiques emploie actuellement 370 000 collaborateurs, dont 246 000 cadres, ce qui le positionne parmi les premiers recruteurs en France même en période de creux
S'agissant des intentions de recrutement, au quatrième trimestre 2010, huit entreprises sur dix envisagent d'embaucher un cadre informaticien, soit quatre points de plus par rapport à la même période l'année passée.

Une offre sur trois pour les jeunes diplômés
« Globalement, deux postes de cadres IT sur trois restent  difficiles à pourvoir et des tensions se font sentir sur certains domaines comme le cloud ou le SaaS », précise Philippe Tavernier. Selon ce dernier, les profils de consultants, de chefs de projet et d'architectes informatiques restent difficiles à trouver, surtout ceux qui ont de réelles compétences lingistiques. Par ailleurs, les perspectives sont tout partiulièrement dynamiques pour les jeunes diplômés. « Sur 20 000 offres de cadres IT, une sur trois concerne ce type de profils », a noté Pierre Lamblin, directeur des études et recherche à l'Apec. D'après lui, la recherche d'emploi reste néanmoins difficile pour les jeunes, même s'ils sont mieux lotis que d'autres. « Environ sept sur dix parviennent à trouver un emploi dans le secteur high-tech, car ils sont en concurrence avec les promotions de 2009 et 2008. » Syntec numérique a également publié ses prévisions 2011 pour les logiciels et services.