mercredi 7 décembre 2011

tablette flexible et transparente chez Samsung pour 2012

Sauf que la tablette ne sera pas capable de jouer à la fois avec des notions de transparence et de la réalité augmentée de sitôt.


mardi 25 octobre 2011

Body Browser, pour voir le corps en 3D, en application Android

Le service Web Body Browser serait en passe d'être adapté en application Android (gratuite). Ce Google Earth du corps humain permet aux étudiants en médecine d'explorer notre anatomie en 3D. Zygote Body arrivera-t-il à se faire une place dans le marché saturé des applications d'anatomie ?
Selon le blog techno Medgadget, Google Body Browser, un outil d'exploration du corps humain enterré fin juillet avec le projet Google Labs, sera ranimé sous la forme d'une application Android gratuite disposant d'une version web, dénommées Zygote Body.
En décembre dernier, Google avait lancé une application Web baptisée Body Browser permettant d'examiner le corps humain en trois dimensions.

Avec Body Browser, on peut choisir de voir les muscles, le squelette, un organe précis... Zygote Body fera de même, sur Android. © Google's Body Browser/YouTube

Zygote Body, un manuel de biologie en 3D
Medgadget indique que si Zygote s'apprête à lancer sa propre application, élaborée à partir de Body Browser, Google a annoncé qu'il rendrait public le code de ce Google Earth du corps humain. Conçu comme un outil éducatif destiné aux médecins et aux étudiants en médecine, le programme permettait une vue précise et détaillée de l'anatomie humaine, des muscles aux organes en passant par les veines, les artères et le réseau des nerfs. Une fois l'option « Labels » sélectionnée, il se transformait en manuel d'anatomie, décrivant la partie du corps examinée.
Mobilehealthnews prédit à Zygote Body une concurrence plus que rude : 242 applications d'anatomie étaient proposées sur l'AppStore d'Apple en juillet. On ignore encore la date de parution de l'application.

Word Lens - Traduction par la réalité augmentée

N'éxiste pas encore pour Android alors que l'applie pour Iphone est sortie en décembre 2010 !!??

Comparatif iPhone & Galaxy Nexus

Par , le 19 octobre 2011 à 18h18 , mis à jour le 19 octobre 2011 à 18h52
Comparatif - Samsung a frappé fort ce mercredi en annonçant avec Google un impressionnant téléphone : le Galaxy Nexus. Apple tiendra-t-il le choc avec son iPhone 4S?
DR / Montage J. Herteleer pour TF1 news DR / Montage J. Herteleer pour TF1 news © DR / Montage J. Herteleer pour TF1 news
"C'est l'état de l'art en téléphonie mobile, et cette fois, cela ne vient pas de chez Apple", résume notre confrère de LCI Cédric Ingrand. Samsung vient en effet de frapper un grand coup en dévoilant mercredi à Hong Kong son nouveau smartphone, le Galaxy Nexus sous système d'exploitation Android 4.0 de Google. Le numéro deux mondial des téléphones portables proposera ainsi en novembre en France une alternative redoutable au  nouvel iPhone 4S d'Apple. Apple, qui en a déjà vendu 4 millions, a-t-il les épaules pour résister jusqu'à l'iPhone 5 que l'on attend pour l'été?

Tout sur l'écran
Jusqu'à maintenant, c'est Apple qui portait l'innovation sur ce qui fait un téléphone, à commencer par l'écran : l'iPhone 4 avait frappé fort au moment de sa sortie avec son Retina Display qui décrochait les mirettes. Cette époque est révolue. "La résolution de l'écran du Galaxy Nexus est désormais clairement ce qui se fait de mieux, il peut diffuser les émissions HD dans la qualité que l'on voit à la télévision. C'est un peu l'équivalent en téléphonie des premiers téléviseurs HD ready", commente Cédric Ingrand. Cet argument est sans doute le plus visible pour un consommateur en magasin et le plus gênant pour Apple, car ce fameux écran est aussi très largement plus grand que celui de l'iPhone. Samsung a ainsi supprimé tous les boutons physiques sur la face du téléphone, qui ne devient qu'un écran.
Le Galaxy Nexus, de Samsung et Google
Le Galaxy Nexus, de Samsung et Google
La vie sans câble
Avec ce téléphone, Samsung lance la première grande vague du "NFC "auprès du grand public. Derrière cet acronyme se cache la nouvelle génération de communication sans contact, c'est à dire sans câble, comme le Bluetooth mais avec de bien meilleurs débits. "Tout le monde se focalise sur le paiement sans contact dans les magasins mais cela n'est pas là-dessus que se jouera le lancement en France", analyse Cédric Ingrand, "car le NFC permet aussi, via "Androïd Beam", un échange de fichiers très simple et sécurisé entre deux téléphones bien plus rapidement qu'auparavant". L'iPhone 4S n'intègre pas encore ce NFC qui permet de partager des photos mais aussi des contacts ou des applications.
La reconnaissance vocale
La fonctionnalité existe, mais Samsung et Google n'ont pas insisté sur la reconnaissance vocale lors de la présentation du Galaxy Nexus, une carte judicieusement jouée par Apple dans son dernier téléphone. Siri, le nouveau système de reconnaissance vocale embarqué de l'iPhone 4S est assez impressionnant. Il suffit de lui demander à haute voix, la météo ou le cours de l'action de votre entreprise pour qu'il vous réponde. Plus utile encore, vous pouvez lui dicter un SMS à envoyer si vos mains sont prises et il ne fait que rarement des fautes. Un bon point pour Apple. "C'est rigolo mais cela marche un peu moins bien en français qu'en anglais", relativise Cédric Ingrand, "il faut attendre pour voir si le grand public adoptera cette fonctionnalité et il n'y a pas beaucoup de doutes qu'Androïd rattrapera son retard apparent sur ce chapitre".
Composants : y'a pas photo?
Contrairement à l'iPhone, nous n'avons pas encore pu tester l'appareil photo du Nexus. Mais, sur le papier, Apple garde l'avantage. L'iPhone 4S est en effet doté d'un capteur de  8 mégapixels, par ailleurs redoutable pour des prises de vues dans une relative pénombre. A comparer au 5 millions de pixels du Nexus. Mais ce nombre de pixels ne fait pas tout, le Nexus prend par exemple ses clichés plus rapidement. Même chose pour la guerre des processeurs, tout ce que l'on peut dire pour l'instant, c'est que les deux sont très rapides !
La guerre des Apps
Contrairement à Apple et son système d'exploitation iOS qui équipe aussi bien les iPhone que les iPad, Google avait fait l'erreur de proposer des versions distinctes d'Androïd pour téléphone et tablette. C'est terminé avec la dernière version d'Androïd 4.0,  alias "Icecream sandwich", qui est la même pour tous les appareils. Elle sera proposée en novembre dans les nouveaux téléphones et en mise à jour pour les autres.
Pour résumer grossièrement, Androïd est sans doute aujourd'hui plus complet qu'iOS qui a de son côté l'avantage de la simplicité. Le système multitâches conçu par Google qui permet de passer d'une application à l'autre est très réussi, meilleur que celui de l'iPhone. En intégrant la fonctionnalité Hangout de Google Plus, Androïd permet aussi aux utilisateurs du Nexus de discuter en vidéo avec plusieurs de leurs amis. Il rattrape ainsi son retard sur "Facetime" d'Apple. Mais peu d'utilisateurs utilisent régulièrement la "visiophonie".
S'agissant de la bibliothèque d'Apps, ces petits jeux et logiciels que l'on télécharge en quelques clics et qui ont fait le succès des smartphones, Apple garde une petite longueur d'avance. Quelque 300.000 applications seront disponibles pour le Galaxy Nexus, contre 425.000 pour l'iPhone 4S. Mais, à ce niveau là, cela ne fait plus vraiment de différence. L'avantage de l'iPhone, c'est qu'il n'existe qu'avec une seule taille d'écran alors que les développeurs doivent adapter leurs logiciels à tous les nombreux téléphones équipés du système Androïd. Cela peut prendre du temps...
Du "Wow"
Le "wow"? Ce sont toutes ces petites choses pas essentielles mais qui en mettent plein les yeux. Avec "Face Unlock", le Nexus marque des points. Cette fonctionnalité lui permet de reconnaître votre visage grâce à son capteur photo. Grâce à cela, plus de code PIN, votre visage devient votre mot de passe !  "En magasin, ce sont de petits détails comme celui-là qui peuvent donner envie à un acheteur", pointe Cédric Ingrand.
Le design
Personne n'a le monopole du bon goût ! C'est donc un bon sujet pour s'écharper. Le design légèrement courbé du Nexus est élégant et fin mais TF1 News préfère la classe redoutable de l'iPhone et ses matériaux nobles. Visuellement, le téléphone d'Apple vieillit étrangement bien et sa version blanche séduit de nouveaux utilisateurs.
L'iPhone 4S d'Apple
L'iPhone 4S d'Apple
Le bilan de TF1 news
Pourquoi n'en garder qu'un? Téléphones-étendards d'Apple et de Samsung-Google, l'iPhone 4S et le Galaxy Nexus ont chacun les moyens de se faire aimer par une catégorie de consommateurs. La guerre PC-Mac s'est ainsi répliquée dans l'industrie mobile, chacun avançant avec ses propres arguments, qui ne sont d'ailleurs pas forcement cumulables.
A l'iPhone, le système d'exploitation simple, sécurisé et rassurant servi par un design irréprochable et une image de marque inégalée, ces qualités se payant aujourd'hui par une utilisation "bridée", un écran à la traîne et un logiciel de synchronisation, iTunes, qui peut exaspérer.
Au Nexus, l'écran XL, les derniers composants signés Samsung, la souplesse d'utilisation, les innovations d'Androïd et l'intégration idéale des applications Google. Plus généralement, les utilisateurs plébiscitent les téléphones Androïd de Samsung et ses concurrents (HTC, Motorola, Sony Ericsson...) pour leur prix qui commencent à quelques dizaines d'euros, leurs possibilités de personnalisation et leur souplesse, qui permet de transférer des fichiers comme sur une clé USB, ce que refuse Apple.

La vérité se trouvera dans les chiffres de Noël. Apple a vendu 20,3 millions de Smartphones au dernier trimestre, contre 19,6 millions pour Samsung qui se rapproche chaque jour. L'iPhone pourrait bientôt devenir un challenger. Rien de tel pour l'innovation !

Quel sera votre choix? Témoignez ci-dessous. 
Par Olivier Levard le 19 octobre 2011 à 18:18

La recherche web cryptée activée par défaut dans Gmail

Edition du 21/10/2011 (1 commentaire le mondeinformatique)

La recherche web cryptée activée par défaut dans Gmail
Google a étendu le cryptage sécurisé SSL pour le trafic de recherche à tous les utilisateurs Gmail. La vraie nouveauté, c'est que le cryptage est actif par défaut, puisque, depuis le mois de mai de l'an dernier, les utilisateurs avaient déjà le choix d'activer manuellement le cryptage pour leur recherche.
Dans les semaines à venir, les utilisateurs accédant au site de recherche Google via Gmail bénéficieront de requêtes de recherche et de pages de résultats chiffrées (HTTPS), ce qui les mettra à l'abri des regards indiscrets, même s'ils utilisent des canaux non sécurisés. « Cette fonction a toute son importance, particulièrement lors de connexions Internet non sécurisées, comme c'est le cas avec les hotspots WiFi accessibles dans les cybercafés par exemple », a déclaré Google, qui a annoncé cette mise à jour de manière très brève sur un blog officiel. Google ne le mentionne pas, mais l'utilisation du SSL permettra également de cacher les recherches aux FAI.À ce jour, peu d'utilisateurs ont entendu parler de l'option de recherche SSL activable manuellement, et n'ont sans doute pas non plus encore pris en compte tous les risques de sécurité pouvant survenir dans les recherches effectuées sur la Toile à partir d'un terminal mobile. Désormais, s'ils utilisent Gmail et s'ils sont connectés avec leurs identifiants, les utilisateurs profiteront de cette nouvelle couche de sécurité quand ils effectuent leurs recherches. Cette petite mise à niveau aura probablement un impact plus significatif pour les webmasters, puisqu'ils recevront moins de données à partir des requêtes effectuées en mode de recherche crypté qu'en mode non-SSL. Quant à ceux qui craignent de perdre une certaine visibilité sur les centres d'intérêt des utilisateurs, Google les invite à utiliser son système Webmaster Tools qui permet de voir les 1 000 premières requêtes de recherche effectuées sur un site donné.

Mise à niveau des équipements

Le SSL a mis du temps à se généraliser. Introduit sur Gmail en option depuis juillet 2008, le cryptage a finalement été proposé en activation manuelle par défaut depuis janvier 2010 en passant par le site https://encrypted.google.com. Twitter a commencé à utiliser le SSL par défaut il y a quelques semaines seulement (et il semble que le processus ne soit pas achevé pour tout le monde). Quant à Facebook, le réseau social l'a offert en option, à ceux qui sont soucieux de la sécurité, plus tôt cette année. Alors, si le SSL est aussi utile pour la sécurité des données échangées, pourquoi ne pas l'activer simplement par défaut pour tous et au même moment ? Le SSL ajoute une surcharge en ouvrant un tunnel entre le serveur et l'utilisateur, qui risque aussi d'ajouter du temps de latence pour l'utilisateur. Google, Twitter et Facebook seront un jour tout-SSL par défaut, mais ils ont besoin de temps pour mettre leurs infrastructures au niveau des exigences requises. Autre question : les utilisateurs en ont-ils réellement besoin, et leurs recherches banales sont-elles si importantes qu'elles doivent être effectuées dans la plus grande confidentialité ?

Firesheep est probablement un bon exemple pou montrer à ceux qui en doutent, à quel point il est facile de voir les résultats de recherche de son voisin, connecté en mode non sécurisé. Ce simple outil, sous forme d'extension à ajouter au navigateur Internet, permet d'intercepter le trafic envoyé par un utilisateur sur un réseau WiFi non crypté. C'est ce qui était arrivé à l'acteur Ashton Kutcher, qui avait découvert à ses dépens que l'interception avait permis à des hackers d'usurper son identité sur Twitter après avoir sniffé ses données de connexion conservées dans un cookie. L'événement avait été en partie à l'origine de  la conversion soudaine de Twitter au SSL.

Le futur du tactile


Du tactile dans les imprimantes et les guitares par BFMTV

jeudi 6 octobre 2011

Steve Jobs est mort



Steve Jobs est mort

Steve Jobs est mort

06 octobre 2011
Le fabricant informatique américain a annoncé mercredi soir la mort de son ex-directeur général.
Une figure emblématique de la Silicon Valley s'est éteinte. Le fabricant informatique américain Apple a annoncé mercredi soir la mort de son ancien directeur général Steve Jobs, âgé de 56 ans, qui avait cofondé la société en 1976 et en avait lâché les rênes le 24 août dernier.
Apple en deuil
"Nous sommes profondément attristés d'annoncer que Steve Jobs est décédé aujourd'hui", a indiqué un bref communiqué du conseil d'administration de la société. "Le caractère brillant, la passion et l'énergie de Steve ont été la source d'innovations innombrables qui enrichissent et améliorent nos vies à tous", a ajouté le groupe californien. Le directeur général d'Apple Tim Cook a de son côté rendu hommage mercredi au "créateur de génie" qu'était Steve Jobs. "Apple a perdu un visionnaire et un créateur de génie, et le monde a perdu un être humain incroyable", a réagi Tim Cook.
La page d'accueil du site Internet d'Apple affichait mercredi soir une grande photo en noir et blanc de Steve Jobs, peu de temps après l'annonce de sa mort. Sur la photo, on voit le cofondateur d'Apple avec ses petites lunettes rondes et son col-roulé noir caractéristiques. La photo est simplement accompagnée de l'inscription "Steve Jobs 1955-2011". A Cupertino, au siège d'Apple, les drapeaux ont été amenés à mi-mât et des employés ont laissé des fleurs sur un banc.
En 2005, lors de la remise de diplôme de l'université américaine Stanford, Steve Jobs avait fait un discours qui avait marqué les esprits.
"Soyez insatiables, soyez fous ! " :
Malade depuis 2004
Steve Jobs avait démissionné en août de la tête de l'entreprise qu'il avait cofondée dans un garage en 1976. En annonçant la nouvelle, Apple n'avait donné aucune explication, mais Steve Jobs, dont l'habituelle tenue jean et col roulé noir est aussi mémorable que le logo en forme de pomme croquée, souffrait de nombreux ennuis de santé ces dernières années. En 2004, il a été atteint d'une forme rare de cancer du pancréas et avait subi une transplantation du foie en 2009.
Un site Internet sera mis à la disposition de ceux qui veulent rendre hommage à Steve Jobs, a d'ores et déjà précisé sa famille.
Via SFR

jeudi 15 septembre 2011

Google lance aujourd'hui des fonctionnalités de commandes vocales sur mobile en France, Espagne, Italie, Allemagne et Royaume-Uni. Hugo Barra, directeur produit pour Android, revient sur ce lancement.

 Propos recueillis par Emmanuel Paquette - publié le 15/09/2011 à 07:00


Motorola était déjà partenaire de Google. Il fabrique les smartphones Droid, équipés du système d'exploitation Android.
REUTERS/Brendan McDermid
Qu'apportent les commandes vocales sur Android?
Ce système permet de dicter vos SMS sur mobile, lancer une recherche sur Google, ou encore accéder à un site Web, sans n'avoir rien à saisir au clavier. Cette fonction est disponible aujourd'hui sur tous les téléphones Android. Lorsque l'utilisateur prononce une phrase, un fichier son est envoyé vers nos serveurs qui transforment ce fichier en texte et le renvoie ensuite vers le mobile. Ce système s'améliore avec le temps, et apprend petit à petit. Aux Etats-Unis où ce service a été lancé il y a un an, la recherche internet, la navigation web et les SMS sont les plus utilisés. Par des technophiles mais pas uniquement; à notre grand étonement.
Selon l'institut comScore, les téléphones fonctionnant sous Android ont une part de marché supérieure à celle d'Apple en France. L'arrivée de l'iPhone 5 ne va-t-il pas changer la donne?
Nous ne faisons jamais de comparaison avec nos concurrents. Nous sommes optimistes sur le devenir d'Android grâce aux liens que nous avons développés avec de nombreux partenaires, fabricants de mobiles, opérateurs et développeurs.
Pourtant le rachat de la division mobile de Motorola par Google peut effrayer certains de vos partenaires comme HTC ou Samsung...
Je n'ai rien de plus à dire sur cette acquisition.
Vous avez signé un partenarait avec Intel pour faire fonctionner les futurs processeurs du groupe sur Android. Pourquoi?
Intel s'intéresse de plus en plus à l'univers du mobile et la société possède des technologies capables de concurrencer les processeurs Qualcomm ou ARM. Leurs produits en développement sont incroyables et permettront d'apporter plus de puissance aux mobiles et plus d'autonomie aux batteries.
Qu'en est-il de vos projets sur les téléviseurs connectés à Internet?
Nous travaillons à développer Android (version Honeycomb) sur les téléviseurs de salon.
Voir la vidéo de démonstration des commandes vocales :

Licences 4G : la France entre enfin dans le vif du sujet

Les réseaux cellulaires à très haut débit mobile débarquent. Le 15 septembre, les opérateurs candidats ont déposé leur dossier auprès du régulateur.


Le coup d’envoi pour l’attribution des licences mobiles 4G est enfin donné en France. Les quatre opérateurs concernés (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR) ont tous déposé à l'Arcep, le 15 septembre à 12 heures, leur dossiers de candidature pour l'attribution des fréquences de la bande 2,6 GHz. Les résultats seront connus avant la mi-octobre, selon le régulateur des télécoms.
Il s’agit en fait du premier étage de la fusée. Le régulateur a opté pour deux appels à candidatures successifs pour les deux bandes de fréquences affectées aux services mobiles à très haut débit : 2,6 GHz et 800 MHz. La date du dépôt des candidatures pour la bande 800 MHz, prévue le 15 décembre 2011, aura ainsi lieu postérieurement à la publication des résultats de la procédure relative à la bande 2,6 GHz, de manière à ce que les candidats puissent faire acte de candidature en fonction des résultats du premier tour.
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Les réseaux mobiles 4G  sont aux réseaux 3G existants ce que la fibre optique est aux réseaux ADSL sur câble téléphonique. La technologie sous-jacente  LTE (Long Term Evolution) apportent des  débits de 50 Mbits/s à 100 Mbit/s sur le lien radio entre l'antenne-relais et le mobile. Ce niveau de performances est obtenu grâce à la mise en œuvre de canaux larges (jusqu’à 20 MHz) inexistants en 3G. Enfin, les réseaux 4G sont la première infrastructure pour réseaux cellulaires qui soit native IP, c'est à dire adaptée à l’internet mobile et vecteur de nouveaux services multimédia IP.

La France derrière L'Allemagne dans l'attribution des licences

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Pour toutes ces raisons, les quatre opérateurs actifs (Bouygues Telecom, Orange, SFR, Free Mobile) sur les réseaux cellulaires 3G sont des candidats naturels aux réseaux 4G. Mais tous n’iront pas avec les mêmes ambitions ni avec les mêmes moyens financiers. L’Etat français a décidé d’attribuer au plus offrant les futures licences, selon un processus d’enchères à un tour.
Ce mode d’attribution oblige les candidats à se dévoiler d’emblée en mettant sur la table l’offre la plus intéressante pour rafler le plus de fréquences possibles. Des garde-fous sont toutefois prévus pour éviter que les plus riches ne fassent main basse sur les fréquences. Mais le climat entre les opérateurs et l’Etat, grand ordonnateur de ces enchères, se tend à mesure que les échéances approchent. Free Mobile réclamait la suspension du processus d’attribution en cours, se plaignant du paiement immédiat de la licence, mais son recours devant le conseil d’Etat fut retoqué il y a quelques jours.
Aucun retard de calendrier n’est d’ailleurs souhaitable. La France fait partie des derniers grands Etats membres de l’Union européenne, avec le Royaume-Uni, a  lancé sa procédures d’attributions de fréquences. L’Allemagne, l’Espagne, la Hollande l’ont déjà précédé sur cette voie. Cette dynamique est confirmée par l’ouverture commerciale des  premiers réseaux de quatrième génération en Suède, depuis bientôt deux ans, ainsi qu’aux Etats-Unis, où Verizon Wireless commercialise des abonnements 4G depuis un an.

mercredi 31 août 2011

Commotion, le projet d'un Internet hors de tout contrôle

LEMONDE | 30.08.11 | 17h28   •  Mis à jour le 30.08.11 | 18h44



Une vingtaine de jeunes gens finalisent un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante.
Une vingtaine de jeunes gens finalisent un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante.Conspiritech / Wikimedia commons
Un immeuble confortable et anonyme, au cœur de Washington, à quelques rues de la Maison Blanche. Dans une enfilade de bureaux au fond du 5e étage, une vingtaine de jeunes gens, surtout des garçons, travaillent discrètement, dans une ambiance à la fois studieuse et décontractée. Cette petite équipe, composée d'informaticiens, de juristes et de sociologues, est en train de réaliser l'utopie suprême des hackers et des militants libertaires du monde entier : un logiciel permettant la création de réseaux sans fil à haut débit 100 % autonomes, qui fonctionneront sur les fréquences Wi-Fi, sans s'appuyer sur aucune infrastructure existante – ni relais téléphonique, ni câble, ni satellite. Ils seront mouvants, horizontaux, entièrement décentralisés et échapperont à toute surveillance, car le trafic sera anonyme et crypté.
Ce projet ambitieux – nom de code Commotion– est dirigé par Sascha Meinrath, 37 ans, militant de longue date de l'Internet libre et précurseur des réseaux citoyens – au sein du collectif de journalistes en ligne Indymedia, puis à l'université d'Urbana-Champaign (Illinois), un des berceaux du logiciel libre, et dans diverses start-up et ONG d'action sociale : "J'ai bricolé mon premier réseau autonome il y a dix ans. Les antennes étaient faites avec des boîtes de conserves." Depuis ces temps héroïques, Sascha Meinrath a fait du chemin. Dans sa version actuelle, Commotion est un projet très officiel. Il est hébergé et financé par l'Open Technology Initiative (OTI), département high-tech de la New America Foundation, organisme prestigieux consacré à l'étude des grands problèmes de la société américaine, et présidé par Eric Schmidt, l'un des patrons de Google.
Grâce à cette tutelle, Sascha Meinrath dispose d'un budget annuel de 2,3 millions de dollars (1,6 million d'euros), auxquels est venue s'ajouter une subvention exceptionnelle de 2 millions, octroyée par le département d'Etat. En effet, les diplomates américains s'intéressent de près à la technologie des réseaux sans fil autonomes, légers et faciles à installer. Ils espèrent les déployer bientôt sur le terrain dans diverses situations d'urgence : dans des zones dévastées par une guerre ou une catastrophe naturelle ; dans les régions les plus déshéritées de la planète, où les populations sont privées de moyens de communication modernes ; et, enfin, comme "outil de contournement" dans des pays dictatoriaux, pour aider les dissidents politiques à communiquer entre eux et avec le reste du monde, en déjouant la surveillance policière et la censure. "Fin 2010, se souvient Sascha Meinrath, j'ai appris un peu par hasard que le département d'Etat avait décidé d'aider ce type de recherches. Nous avons déposé un dossier, en concurrence avec d'autres organisations, et nous avons été choisis. Les autres projets s'appuyaient en partie sur les infrastructures existantes, alors que Commotion les court-circuite entièrement."

"LE SEUL OUTIL À APPORTER SUR LE TERRAIN, C'EST UNE CLÉ USB"
La subvention fédérale n'a pas suffi à transformer l'équipe de Commotion en fonctionnaires. Josh King, 28 ans, le responsable technique, a gardé son look très rebelle – vêtu de noir de la tête aux pieds, avec chaîne, piercing et cheveux en bataille... Son bureau est encombré d'appareils de toutes sortes, sur lesquels il fait des tests approfondis, car Commotion doit pouvoir fonctionner avec un assemblage hétéroclite. Ses logiciels transforment un routeur Wi-Fi ordinaire, un simple PC ou un smartphone en relais intelligents, capables de connaître en temps réel la configuration du réseau, et de trier les données pour les envoyer vers leurs destinataires, ou vers un autre relais, plus proche du but. Par ailleurs, Commotion peut être facilement raccordé au reste du monde : il suffit qu'un seul des appareils soit connecté à Internet pour que tous les autres profitent de l'accès. "En fait, résume Josh King, le seul outil indispensable à apporter sur le terrain, c'est une clé USB contenant les logiciels, qui doivent être installés sur chacun des appareils appelés à faire partie du réseau." Depuis le printemps 2011, OTI propose des éléments de Commotion en téléchargement libre sur Internet. Une version de travail complète sera disponible en septembre, afin que des experts de tous les pays puissent l'étudier et faire des suggestions. Sascha Meinrath ne sait pas exactement qui télécharge quoi, car il ne garde aucune trace des internautes venant sur le site : "Si nous conservions une liste de nos visiteurs, nos serveurs pourraient être piratés par différents gouvernements – y compris le nôtre."
Récemment, OTI a reçu des messages de militants du "printemps arabe", vivant en Egypte, en Syrie, en Libye, à Bahreïn et au Yémen : "Ils veulent se procurer Commotion, mais nous essayons de les dissuader. C'est trop tôt, il n'est pas sécurisé, ce serait risqué de s'en servir contre un régime répressif. Cela dit, si ça se trouve, des groupes clandestins utilisent déjà des versions provisoires, sans nous le dire. Certains interlocuteurs sont peut-être des agents au service des dictatures, mais peu importe, nous montrons la même chose à tout le monde."
Sascha Meinrath se donne jusqu'à fin 2012 pour produire une version utilisable par le grand public. Pour aller plus vite, OTI s'approprie des systèmes mis au point par d'autres équipes. Pour la sécurisation, Commotion va intégrer les programmes du projet TOR (The Onion Router), inventé par une bande d'hackers allemands et américains pour circuler sur Internet en évitant d'être repéré. TOR a notamment été utilisé pour protéger les communications du site WikiLeaks –qui a divulgué en 2010 des masses de documents secrets appartenant au gouvernement des Etats-Unis. L'un des créateurs de TOR, l'Américain Jacob Appelbaum, fut un temps très proche de l'équipe de WikiLeaks. A deux reprises, en 2010, il a été arrêté par la police américaine, qui l'a interrogé sur ses activités au sein de WikiLeaks et a saisi ses téléphones et ses ordinateurs. Or, Jacob Appelbaum est aussi un ami personnel de Sascha Meinrath, qui fait appel à lui comme conseiller pour la mise au point de Commotion.
Pour expliquer cette situation paradoxale, Sascha Meinrath évoque la "schizophrénie" du gouvernement fédéral : "Parmi les responsables de Washington, il y a encore des gens formés pendant la guerre froide, qui rêvent de tout bloquer et de tout surveiller, mais il y a aussi des jeunes arrivés avec Obama, qui sont partisans de la transparence et de la liberté d'expression. En privé, de nombreux fonctionnaires du département d'Etat étaient en colère de voir leur hiérarchie critiquer WikiLeaks aussi violemment. Selon eux, l'affaire aurait pu être l'occasion de montrer au monde que les Etats-Unis savent défendre la liberté d'expression et la transparence, en toutes circonstances."
A présent, Jacob Appelbaum participe à un vaste projet baptisé Freedom Box – un ordinateur basique et bon marché transformé en serveur crypté et sécurisé pour le grand public. Sascha Meinrath envisage d'intégrer Freedom Box au réseau Commotion, notamment pour bénéficier d'une fonction dite de "connexion différée" : "Par exemple, lors d'une manifestation réprimée par la police, un manifestant prend une photo avec un smartphone connecté à Commotion. Internet a été coupé ce jour-là dans le quartier par les autorités, la photo ne peut pas sortir du pays, mais grâce à Commotion, elle est stockée à l'abri, sur une freedoom box locale. Puis, dès qu'Internet est rétabli, la box envoie automatiquement la photo dans le monde entier."

LES ENTREPRISES DE TÉLÉCOMS, ENNEMIS POTENTIELS
OTI songe à intégrer d'autres appareils expérimentaux, qui permettront aux utilisateurs de partager des masses de fichiers lourds, de faire transiter sur Commotion des appels téléphoniques passés avec des mobiles ordinaires, de transmettre des données dans toutes les gammes de fréquences, et même d'interconnecter plusieurs réseaux voisins : "En juillet, raconte Sascha Meinrath, une équipe d'hackers en camionnette a monté un réseau éphémère, couvrant une zone de 60 km sur 30, à cheval sur l'Autriche, la Croatie et la Slovénie. C'est la preuve qu'on peut fournir une connexion Internet à toute une zone frontalière, sans être physiquement présent dans le pays." Commotion n'est pas prêt pour un déploiement dans les zones à risque, mais il peut déjà être testé aux Etats-Unis – par exemple, dans les quartiers pauvres des grandes villes, dont les habitants ne peuvent pas se payer d'abonnement Internet classique. A Washington, à Detroit, et dans une réserve indienne californienne, l'OTI est entré en contact avec des avec des associations de quartiers et des groupes militants qui avaient entrepris de créer des réseaux sans fil sauvages, pour offrir aux habitants des accès Internet gratuits. Grâce à son expertise et à son carnet d'adresses, l'équipe d'OTI a fourni à ces amateurs une aide technique et financière décisive. Cette fois, les ennemis potentiels sont les entreprises de télécoms, qui pourraient faire pression sur les autorités, pour qu'elles tuent ces initiatives citoyennes à coups de lois et de restrictions bureaucratiques. Sascha Meinrath est conscient de la menace : "Notre technologie va bousculer pas mal de choses, y compris aux Etats-Unis. Si les gens se mettent à construire leurs propres réseaux, le business model des groupes de télécoms va s'effondrer. Il faut s'attendre à ce qu'ils contre-attaquent brutalement." Commotion devra aussi affronter l'hostilité des majors d'Hollywood, car il peut faciliter le piratage des œuvres sous copyright. Sascha Meinrath est à la fois fataliste et optimiste : "Que ce soit aux Etats-Unis, au Moyen-Orient ou ailleurs, qui va mettre en place ces réseaux alternatifs ? Pas des vieux, on le sait. Ce sont les ados qui vont s'en emparer. Ils s'en serviront pour contester l'ordre établi et aussi pour partager leur musique et leurs films. Ce sera peut-être négatif pour les détenteurs de droits, mais le bilan global sera très positif."
Yves Eudes

Les GPS se mettent à l'heure des réseaux sociaux

Les GPS se mettent à l'heure des réseaux sociaux



Edition du 30/08/2011 - par Relaxnews

Les services Search & Go LIVE, qui seront intégrés dans les prochaines générations de GPS de TomTom, vont permettre d'accéder, depuis sa voiture, à des réseaux sociaux et des services de réservation et de recommandation en ligne.
Twitter est le premier réseau partenaire de ce projet, associé à des services comme Expedia (agence de voyage), TripAdvisor et Yelp (sites de recommandation). La fonctionnalité Twitter intégrée aux GPS TomTom va, par exemple, permettre de communiquer de façon automatique l'heure d'arrivée à une destination préenregistrée, selon l'itinéraire emprunté et la vitesse du véhicule, sans interférer avec la conduite. Quant aux services de réservation ou de recommandation, ils s'intègrent parfaitement dans l'interface du GPS et dans les cartes et les itinéraires proposés.

Pour Corinne Vigreux , Directrice Générale grand public du fabricant de GPS, « TomTom donne aux conducteurs un avant-goût de ce que sera la navigation connectée dans l'avenir. Nous allons continuer à développer des services en temps réel, ainsi que des contenus utiles et pertinents dans une automobile. »

TomTom va mettre en service progressivement ces fonctionnalités, sans frais supplémentaires, d'abord aux Etats-Unis, en Allemagne et en Nouvelle-Zélande à partir d'octobre 2011, puis l'an prochain dans le reste du monde. Il s'agit pour TomTom de proposer à ses utilisateurs une alternative aux smartphones et aux systèmes GPS dédiés des constructeurs automobiles.

mercredi 17 août 2011

Apple s’intéresse aux vidéoprojecteurs intégrés aux mobiles

La marque à la pomme a déposé un brevet outre-Atlantique sur un mini-vidéoprojecteur. Il pourrait être intégré aux iPhone et aux iPad.


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La firme de Steve Jobs est une habituée des brevets. Dernier en date : un mini-vidéoprojecteur dont l’US Patent & Trademark Office vient de rendre publiques les spécificités. « Les dispositifs sont prévus pour permettre la création d’un espace de travail partagé par un système d’affichage projeté. Dans les faits, des appareils électroniques pourraient inclure un projecteur qui afficherait des images projetées et une caméra qui détecterait les gestes effectués devant ce système. Les appareils électroniques pourraient interpréter ces gestes pour identifier des commandes de partage d’images », explique le préambule du brevet
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Un système à la Minority Report ?

Le système déposé permettrait en outre de partager des données projetées par plusieurs appareils, sans qu’ils soient connectés.
Le texte laisse entendre que ces picoprojecteurs pourraient être intégrés dans des téléphones, tablettes ou ordinateurs portables. De là à espérer qu’ils soient présents dans les prochaines générations d’iPhone, iPad et MacBook...

mardi 16 août 2011

SYSTÈME DE VÉRIFICATION GMAIL = ARNAQUE

Ne répondez surtout pas si vous recevez ce type d'email, c'est évidement une arnaque :

Cher(e) Membre,
Du nouveau sur nos programmes.
En raison de cette Nouvelle Année 2011 L'équipe Gmail tient a vous informez que des opérations de maintenance Ciblées sur l'ensemble du réseau sont actuellement en cours.
Ces opérations auront pour but d'identifier chacun des utilisateurs Google Gmail en vue de déterminer tout les comptes actifs et inactifs afin de procéder a la suppression des inactifs.
Google tient à respecter la vie privée de ses utilisateurs et à garantir
Leur sécurité. C'est pourquoi nous réactivons un compte uniquement lorsque.
Nous sommes certains de le restituer à son propriétaire.
Nous vous invitons à copier le Formulaire ci-dessous puis le remplir en mentionnant toutes les informations obligatoires (*) et nous le retourner dans un délai de 72H.
Si les renseignements fournir ne suffisent pas à prouver votre Statut de propriétaire du compte nous serions dans l'obligation systématique et sans appel de fermer votre compte.


Identité Utilisateur :

Nom & Prénom :.................................................
Date de Naissance :............................................
Pays & Ville de Résidence :....................................

Information de Connexion Obligatoire :

Compte Gmail :.................................................
.

Mot de Passe :..................................................

Profession :....................................................

N°de téléphone :......................................

Service GOOGLE MAIL vous remercie pour votre aimable collaboration pour la simplification de la sauvegarde des comptes.


L'équipe Gmail !

Cordialement,

L'équipe Google chargée de la récupération des comptes.
Copyright © 2011 L'équipe Gmail Co. Tous droits réservés.
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mercredi 20 juillet 2011

Percée de la géolocalisation à l'intérieur des bâtiments

Les aéroports ou les centres commerciaux géolocalisent leurs visiteurs en tirant partie de leur infrastructure Wi-Fi. Explications.

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L’application My Way Aéroport de Paris disponible sous Android, permettant au mobinaute d’être guidé dans l’aéroport Roissy Charles De Gaulle, s'appuie sur une technologie de géolocalisation utilisant la couverture radio Wi-Fi existante des aérogares parisiens. Ce recours pallie la déficience de la réception des signaux GPS à l'intérieur des bâtiments. La géocalisation s'appuie sur les points d'accès Wi-Fi qui émettent à intervalle régulier un signal capté par le mobile. Pour déployer l'application My Way, Hub Telecom (filiale d'Aéroport de Paris) a eu recours à la société française Polestar, qui lui a fourni cette technologie(cf encadré ci-dessous), baptisée Neo Campus. Un algorithme de géolocalisation identifie la position de l’utilisateur et fournit ces données à un logiciel de navigation, embarqué sur le téléphone, qui le guide à l’intérieur du bâtiment.

Un potentiel pour les campus ou les musées

En l'occurrence, l'application My Way Aéroport de Paris aide les usagers à s’orienter dans les aérogares de Roissy. Le passager a la possibilité de savoir où il se situe dans le terminal, d'être guidé vers différents lieux utiles en suivant un itinéraire, d'obtenir des informations sur les emplacements des espaces de détente et de services, de classer ses recherches dans des favoris et d'y accéder directement. La technologie de la société Polestar a également été déployée dans le centre commercial Les Quatre Temps, à la Défense, près de Paris.
La géolocalisation indoor peut aussi concerner d'autes sites de passage (campus industriels, musées…). De même, d'autres sociétés proposent des solutions techniques comparables de géolocalisation Wi-Fi comme le Français Insiteo. Cette société toulousaine revendique, depuis avril 2011, l'équipement d'un important centre commercial de 230 boutiques en Catalogne, près de Barcelone.

La géolocalisation Wi-Fi : comment cela fonctionne

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Pour tirer parti de la localisation de la force du signal émis par les points d’accès d’un réseau Wi-Fi déjà déployé, un travail préalable de relevés « in situ » permet de cartographier le site cible à couvrir. Cette cartographie réalisée et saisie dans une base de données, le système va alors, pour chaque émetteur de signaux à localiser (smartphone Wi-Fi), rechercher le point le plus proche, sur cette base de référence, pour positionner ce mobile. C'est l’algorithme de géolocalisation qui identifie la position de l’utilisateur et fournit ces données à un logiciel de navigation, embarqué sur le téléphone, qui le guide à l’intérieur du bâtiment. La précision de la localisation varie de trois à cinq mètres selon la densité des points d'accès Wi-Fi.

dimanche 17 juillet 2011

jeudi 7 juillet 2011

Culture geek : des robots aussi fascinants qu'angoissants

Une idole de la pop totalement virtuelle, des muscles contrôlés électriquement ou une main de ninja robotisée. Les recherches cybernétiques ouvrent des perspectives incroyables mais aussi des possibilités de détournement inquiétantes.



Google va supprimer les profils privés le 31 juillet

Dès la fin du mois, les titulaires d’un compte Google ne pourront plus dissimuler leur profil sur Internet. Un problème qui n’en est pas un.

Pour vivre heureux, vivez cachés. Les titulaires d’un compte Google vont devoir abandonner cette devise. A partir du 31 juillet, le moteur supprimera tous les profils privés et les informations renseignées par les internautes seront donc susceptibles de remonter lors d’une recherche sur Google. Il faudra rendre son compte public pour le conserver.
La mesure ne date pas d’aujourd’hui. Le site Thenextweb l’avait repérée dans les conditions générales d’utilisation de Google dès le mois de mars dernier. Mais elle prend toute son importance alors que Google vient d’ouvrir son propre réseau social, Google+. Les membres de ce service ne pourront donc pas réserver l’accès à leur profil à leurs amis, comme c’est le cas sur Facebook.
Cela pose-t-il pour autant un problème de vie privée ? Pas vraiment. Car la création d’un profil sur Google+ n’exige pas de dévoiler sa vie privée. Il suffit d’indiquer son identité et son sexe. Libre ensuite à chacun de rendre public un plus grand nombre d’informations, et d’en réserver certaines à ses amis.

La réalité augmentée gagne les cockpits


Lors du dernier Salon du Bourget, les équipementiers aéronautiques ont dévoilé une nouvelle génération d'instruments de vol. La réalité augmentée y fait une apparition remarquée. 

La réalité augmentée est désormais bien connue du grand public. Les applications marketing l'ont popularisée sur micro-ordinateur et, de plus en plus, sur mobiles. Ses applications professionnelles se multiplient et aujourd'hui, ce sont les pilotes d'avion de ligne qui voient leur charge de travail réduite grâce à des modes d'affichage évolués.
Le dernier Salon du Bourget a ainsi été l'occasion pour plusieurs équipementiers aéronautiques de dévoiler leurs instruments dernier cri. Garmin a ainsi montré les atouts de son G500H, un système de type visualisation à tête basse (Head Down Displays), qui offre deux écrans côte à côte. L'instrument présente une vue synthétique au pilote : vitesse, altitude, horizon artificiel et balises de guidage. La nouveauté ? L'affichage des éventuels obstacles qui se dressent devant l'appareil selon son altitude. Les tours représentées en rouge (voir ci-dessus) préviennent d'un danger pour l'appareil, celles en blanc sont là à titre indicatif en cas de changement de direction.

La réalité augmentée sous les yeux du pilote

Tous les autres équipementiers travaillent désormais sur cette enrichissement des modes de visualisation. Tout comme Garmin, Thales travaille à l'intégration d'éléments externes à ses visualisations tête basse. Plus spectaculaire encore, cette réalité augmentée fait son apparition dans ses dispositifs d'affichage tête haute (Head Up Displays ou HUD). Ces dispositifs, que l'on rencontre de plus en plus dans les voitures haut de gamme, sont directement issus des avions de combat : l'affichage est réalisé sur une vitre inclinée, disposée à hauteur des yeux du pilote. Le dispositif apporte plus de sécurité et notamment en phase d'approche, puisque le pilote n'a plus à baisser les yeux sur son tableau de bord pour prendre connaissance de son cap, de sa vitesse, de son altitude et de l'assiette de son appareil.
Thales, dont les HUD ont notamment été retenus par plusieurs compagnies aériennes pour équiper leurs A380 (voir ci-contre) et leurs futurs A350 XWB, propose ce qu'il nomme l'Enhanced Flight Vision System. Ce système affiche des données issues d'une caméra infrarouge ou des images radar en les superposant à l'image extérieure. De quoi offrir une vision « augmentée » au pilote de nuit ou lorsque la visibilité est nulle.

Rockwell Collins ajoute des éléments virtuels

L'Américain Rockwell Collins va plus loin encore. Certes, il affiche ces données mais il enrichit également la vision du pilote avec des informations extraites d'une base de données. Par exemple, la position des aéroports proches, le plan de vol de l'appareil ou les obstacles avec un dessin du relief environnant. En cas de panne subite, le pilote peut se dérouter d'urgence vers la « bulle » la plus proche qu'il aura aperçue auparavant, sans avoir à rechercher quels sont les aéroports ouverts à proximité et celui qui se trouve le plus proche de sa position actuelle. C'est cette rapidité de prise de décision qui peut sauver un appareil et ses passagers.
Témoignage de Rockwell Collins :


dimanche 3 juillet 2011

Le gouvernement Sarkozy veut censurer internet

83,203 ont signé la pétition dont 50 000 en seulement 24 heures! Ensemble allons jusqu'à 150,000
Publié le 29 Juin 2011
Le gouvernement Sarkozy veut censurer internet par un décret qui pourrait bloquer des sites et pages de recherche que nous utilisons tous les jours. Mais un tollé national peut stopper cet assaut contre la liberté d'expression.

Ce nouveau décret permettrait aux ministres de retirer tout contenu internet menaçant selon eux "l'ordre public", sans passer par un juge. C'est pourquoi un Conseil en charge de l'Internet créé par Sarkozy a condamné cette mesure comme étant inconstitutionnelle, et les experts internationaux sont en état d'alerte. Mais le décret pourrait malgré tout être adopté dans les prochains jours.

Le Président Sarkozy a montré au sommet du G8 qu'il soigne son image de dirigeant moderne et de partisan d'internet. Ainsi, si nous sommes suffisamment nombreux à exiger qu'il enterre ce projet de censure, nous pourrons faire pencher la balance et empêcher qu'il ne mette la main sur internet. Lançons un gigantesque appel national demandant à Sarkozy de protéger la liberté d'internet. Signez la pétition urgente et faites-la suivre à tous.
http://www.avaaz.org/fr/france_sauvons_internet/?vl

Retrouver l'enregistrement des onglets à la fermeture de Firefox

http://www.actual-pc.fr/astuces-firefox_enregistrer_onglet_fermeture

vendredi 1 juillet 2011

Google lance son service de musique en ligne : qu'est-ce que ça change ?

Le géant de l'Internet lance une solution permettant d'écouter ses morceaux de musique de n'importe où, et gratuitement.

Le géant américain se lance dans un nouveau secteur, toujours sans faire de concessions.Le géant américain se lance dans un nouveau secteur, toujours sans faire de concessions. | DR
L'hyperactivité de Google n'est pas prête de s'arrêter. Après YouTube, Android, la numérisation des bibliothèques, la TV connectée... voici que le géant américain s'apprête à poser un pied dans un nouveau secteur, la musique. En effet, la firme californienne a annoncé le lancement de la version privée de Google Music, son service d'écoute en ligne.

Comment ça marche ?

Concrêtement, Google propose aux utilisateurs d'héberger leur musique par le procédé de clouding (nuage). Ce concept consiste à déporter les fichiers musicaux sur des serveurs distants, alors qu'ils étaient traditionnellement localisés sur le disque dur de l'ordinateur personnel.

Le but est d'envoyer -"uploader" en termes informatiques- ses morceaux, ce qui permettra d'écouter sa musique n'importe où sur Terre, pourvu qu'un accès Internet soit disponible. Les fichiers pourront ensuite être lus depuis un ordinateur, un téléphone mobile ou une tablette.

La lecture des fichiers se fera par le biais du streaming, à l'instar de YouTube ou Dailymotion, qui consiste à lire un contenu multimédia sans le télécharger physiquement.

(Présentation officielle de Google Music)

Une initiative intéressante repérée par PC World indique que les morceaux "récemment écoutés" dans Google Music resteront en mémoire, et pourront être lus sans connexion Internet. On ne sait pas combien de morceaux pourront être retenus, mais le site spécialisé s'avance en parlant d'une "dizaine, voire une centaine" de titres.

Que propose la concurrence ?

La solution de Google ressemble manifestemment à celle d'Amazon, le leader mondial de d'édition, qui a lancé son cloud en mars dernier. Mais à la différence de son concurrent, Google indique proposer l'hébergement gratuit de 20.000 morceaux de musique (entre 80 et 100 Go), alors qu'Amazon offre seulement 5 Go, extensibles à 20 Go si l'on achète un album sur leur magasin en ligne.

Amazon propose son
Amazon propose son "nuage" depuis mars 2011.


L'arrivée de la firme de Mountain View risque de considérablement bousculer un marché qui s'organisait doucement ces dernières années. En France on avait Deezer, le site de streaming payant (9,99 euros/mois) mais dont beaucoup critiquent la faiblesse de la bibliothèque, ou encore le Suédois Spotify qui consiste à mélanger sa musique personnelle à une grosse base de données déjà existante. Très appréciée, cette dernière solution a déjà séduit 10 millions de personnes, mais nécessite également un abonnement à 9,99 euros par mois pour emmener sa musique partout.


Deezer, lancé en 2007 et racheté par Orange. Spotify, firme suédoise fondée en 2006.
Deezer, lancé en 2007 et racheté par Orange.                                       Spotify, firme suédoise fondée en 2006.


Google fait craindre le pire à ces éditeurs de logiciels si son offre se maintient au gratuit, d'autant plus que les majors musicales (Universal, Sony, EMI, Warner...) ne comptent pas rester sur le carreau. Ces dernières souhaitent renégocier des royalties, note Le Figaro, incluant un droit au streaming. Une hérésie pour Google.

Sans accords avec les majors, Google ne pourra pas vendre de musique

L'entreprise a déjà réagi par la voix de son directeur des contenus multimédias, ne doutant pas de la légalité de l'offre. "Cela revient au même qu'une sauvegarde en ligne ou un transfert sur un baladeur numérique", a indiqué Jamie Rosenberg. "Nous voulons travailler avec l'industrie musicale. Malheureusement, certains labels ne sont pas sérieux dans leurs demandes".

Sans un accord de ce type, Google devra se contenter d'un rôle de "disque dur virtuel" et ne pourra pas proposer l'achat de nouveaux morceaux, ce qu'Amazon, Deezer et Spotify offrent dans leur utilisation.

L'arrivée du mastodonte va très certainement contribuer à remuer Apple, qui réfléchit à une solution de clouding pour l'évolution de son logiciel iTunes. Véritable pionnier sur le marché de la musique en ligne, l'inventeur de l'iPod désormais en retard devrait présenter sa contre-attaque en juin prochain, indique Challenges.

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mardi 21 juin 2011

Créez votre site Flash GRATUIT avec Wix

WIX
Petite annotation : les sites Full flash ont quelques problèmes pour être référencés via Google. Pourtant de grandes marques de luxe l'utilisent, il serait intéressant de débattre sur le sujet !

jeudi 9 juin 2011

Des forfaits moins chers chez SFR

Des forfaits moins chers chez SFRL'opérateur de téléphonie mobile SFR a annoncé, mardi 7 juin, le lancement de nouvelles formules économiques destinées à valoriser la fidélité de ses clients, nouveaux comme anciens.
A compter du 15 juin prochain, tous les clients de SFR bénéficieront d'une baisse du prix de leur forfait mensuel lorsqu'ils seront en fin de période d'engagement. Cette réduction pourrait atteindre 9 euros, et même 14 euros pour les clients souhaitant se réengager pour 12 mois.

L'opérateur français souhaite également récompenser la fidélité de ses clients en proposant des tarifs préférentiels pour le renouvellement des mobiles. Les clients souhaitant profiter d'un nouveau terminal pourront choisir un téléphone au prix jusqu'alors réservé aux nouveaux clients. Dernier point, les offres de SFR seront désormais proposées avec ou sans terminal, et avec ou sans engagement.

SMS gratuits avec iOS 5

SMS gratuits avec iOS 5

Parmi les nouveautés d'iOS 5 présentées hier à la WWDC, Apple a introduit un système de messagerie qui permet aux propriétaires d'iPhone, d'iPad et d'iPod Touch d'envoyer des messages, des contacts, des photos et des vidéos aux autres utilisateurs iOS gratuitement, sans ponctionner les forfaits SMS souvent onéreux proposés par les opérateurs.
Baptisé iMessage, le service d'Apple entre en concurrence directe avec l'une des fonctions reines de Research In Motion (RIM): BlackBerry Messenger (BBM).  "Cette nouvelle initiative d'Apple est probablement le coup de grâce pour BBM, que RIM prévoyait de transformer en applis Android et iOS", explique le journaliste Chris Gayomali, de Time Techland. Il précise cependant qu'"en choisissant de limiter iMessage à la plateforme iOS, Apple cède le créneau multiplateformes à d'autres sociétés et applis -- comme la très populaire WhatsApp".


Sur Twitter, les avis sont positifs: "iMessage > BBM et on dirait que ça DETRUIT BBM... plus ça va, plus ça devient dur d'être encore sur blackberry", ou encore: "Ce qui m'intéresse le plus c'est iMessage, parce que je pourrai mettre mon forfait SMS à presque zéro".

iMessage sera compris dans la nouvelle mouture du système d'exploitation mobile d'Apple, iOS 5. Cette mise à jour sera gratuite et valable pour iPhone 4, iPhone 3GS, iPad 2, iPad, iPod Touch (troisième et quatrième générations) à l'automne. La section iOS 5 du site d'Apple donne une vue d'ensemble des fonctions présentées le 6 juin lors de la Worldwide Developers Conference, dont le Notification Center, les Reminders, l'intégration de Twitter et NewsStand.