vendredi 28 janvier 2011

Le réseau Foursquare affiche une croissance de 3.400%



Foursquare en 2010
(DR) Foursquare en 2010
Le réseau social Foursquare affiche un taux de croissance de 3.400% pour l'année 2010, selon des résultats publiés lundi 24 janvier. Le site fêtera son deuxième anniversaire en mars.
Foursquare est un réseau social où les utilisateurs indiquent leur position exacte via leur téléphone (on parle de géolocalisation) et d'ajouter des commentaires ou recommandations sur les lieux. Les 6 millions de membres du réseau s'affrontent pour devenir "Maire" d'un lieu et recueillir un grand nombre de "badges".
Au total, sur l'année 2010, les utilisateurs de Foursquare se sont géolocalisés 382 millions de fois, dont une fois dans l'espace pour l'astronaute Doug Wheelock.
Les lieux les plus populaires auprès des utilisateurs sont, dans l'ordre : les restaurants, les lieux de travail, les boutiques, les boîtes de nuit, les lieux culturels, les parcs et les écoles.

mercredi 26 janvier 2011

Les CV sont de plus en plus originaux

En voici un en réalité augmentée

SkySQL, un support mieux-disant pour MySQL qui séduit en Europe

Edition du 24/01/2011 - par Maryse Gros


SkySQL, un support mieux-disant pour MySQL qui séduit en Europe




Depuis son lancement en octobre 2010, le support que SkySQL propose autour de la base Open Source MySQL rencontre un vif succès.


En douze semaines d'existence, la société finlandaise SkySQL a attiré quarante entreprises vers son offre de support autour de MySQL. Ces clients sont à 95% situés en Europe pour l'instant, le lancement du service aux Etats-Unis n'ayant démarré qu'en novembre. SkySQL a été créée par d'anciens cadres de l'éditeur MySQL AB, à l'origine de la fameuse base de données Open Source, rachetée en 2008 par Sun Microsystems, puis absorbée par Oracle début 2010. En France et en Allemagne, qui constituent les principaux marchés pour MySQL après les Etats-Unis, l'intérêt des utilisateurs s'est tout de suite manifesté pour le support commercialisé par SkySQL. « Nous avons été très agréablement surpris par la demande », apprécie Michael Carney (en photo), directeur commercial Europe de la société et, lui aussi, ancien de MySQL. S'il est parfois difficile de convaincre des clients de changer de fournisseurs, même lorsqu'ils ont des soucis avec lui, cela n'a pas posé de problèmes cette fois-ci, fait-il remarquer. « Il est vrai qu'au niveau technique, cela n'a pas été difficile de basculer ».

Le support Platinum démarre à 3 000 euros

Cette alternative au support d'Oracle ne pouvait pas mieux tomber. En novembre, le repreneur de Sun a en effet relevé ses tarifs en supprimant son offre la moins chère. Face à lui, la proposition de SkySQL est 20% moins élevée, avec un support Platinum à 4 000 dollars (3 000 euros). « L'offre équivalente chez Oracle correspond à  MySQL Enterprise Edition, tarifée 5 000 dollars », rappelle Michael Carney. Parmi les clients de la première heure de SkySQL figurent de « très grosses entreprises, souligne le directeur commercial, parmi lesquelles de grandes sociétés de télécommunications, en France et en Allemagne ».

« Les modifications de tarifs d'Oracle pénalisent les plus petits clients, d'autant qu'ils ont également supprimé l'offre Gold, une offre de support 24/24 à l'échelle mondiale comportant moins de support consultatif, souligne Michael Carney. Il faut maintenant acheter MySQL Enterprise Edition. Pour les anciens clients de Gold, nous proposons donc de basculer vers notre support Platinum pour un tarif démarrant à 3 000 dollars. » A l'instar d'Oracle, SkySQL fournit avec son service de support des logiciels complémentaires aidant à mieux utiliser la base de données. « Avec SkyEnterprise, nous avons créé l'outil de monitoring SkySQL Monitor en partenariat avec la société indienne Webyog, donne en exemple le directeur commercial. De même qu'Oracle a ajouté un outil de sauvegarde à chaud dans la nouvelle version Enterprise, nous en avons également un ».

Présent sur 13 pays et solutions cloud en vue

Dès la fondation de SkySQL, « nous avons été submergés de CV d'ex-collègues qui voulaient nous rejoindre. Nous avons pris les meilleurs sur les marchés clés que nous devions couvrir le plus rapidement, la France, les Etats-Unis..., relate Michael Carney. Nous pouvons embaucher les gens où ils se trouvent, nous sommes une société qui travaille bien à distance. » SkySQL est présent dans 13 pays. Il compte des clients comme le fournisseur de services d'informations financières BörseGo, le fabricant de produits de luxe Richemont, ou encore, en France, Canal+. Fin 2010, en douze semaines de commercialisation, le volume des ventes a atteint 7 chiffres, indique le fournisseur.

SkySQL prépare de nouvelles solutions pour le cloud avec l'objectif de devenir un acteur majeur sur les bases de données dans cet univers, ainsi que l'a déclaré Ulf Sandberg, CEO de la société. « Notre but est de placer MySQL en tant que serveur de base de données pour le cloud. Il y a de super produits Open Source qui tournent autour de cette base. Nous voulons créer une architecture de référence qui cimentera l'exploitation de MySQL dans le cloud », explique Michael Carney.

Illustration : Michael Carney, directeur commercial Europe de SkySQL (crédit : D.R.)

L'optimisation WAN bénéficie au cloud computing

L'optimisation WAN bénéficie au cloud computing

Edition du 18/01/2011 - par Jacques Cheminat avec IDG News Service

Beaucoup d'organisations se tournent maintenant vers des produits d'optimisation pour améliorer les performances de leurs liens WAN, mais les entreprises qui utilisent des services de cloud computing en tireront un bénéfice plus important

Une étude d'Aberdeen Group a constaté que les entreprises qui utilisent des techniques d'optimisation WAN bénéficieront de réduction de coûts. Dans le rapport, « Cloud Services Redefine the Need for WAN Optimization », le cabinet a déclaré que le coût moyen d'utilisation des services réseaux par employé dans un environnement de cloud computing est réduit de moitié par rapport à celui d'un employé sur site. En pourcentage, selon Aberdeen, cela représente une augmentation du coût pour un employé qui utilise le cloud de l'ordre de 3,9%, comparativement à une hausse de 5,8% pour un employé sur site.

En outre, l'étude a montré que l'optimisation des applications est amplifiée quand elle est appliquée à des environnements cloud. Par exemple, le cabinet d'analyse a constaté que ces technologies de type accélération ou compression sur un système de VoIP améliorent de 19% l'application en entreprise, mais de 30% lorsque l'entreprise utilise des services de cloud computing.

De plus en plus d'acteurs combinent optimisation et cloud

De plus, Aberdeen Group constate que l'optimisation WAN serait en mesure d'atténuer certains des risques liés à des domaines tels que la gestion de la complexité du système, la perte de données et la surveillance du réseau. En complément du rapport, on constate que la plupart des constructeurs intègrent dans leurs solutions réseaux des services d'optimisation d'applicatifs. De la même façon, les éditeurs de solutions d'optimisation se tournent vers le cloud, comme le montrent les annonces de Riverbed par exemple.

mercredi 19 janvier 2011

Microsoft concurrence Salesforce.com sur son terrain


Edition du 19/01/2011 - par Maryse Gros


Microsoft concurrence Salesforce.com sur son terrain


Avec Dynamics CRM Online, lancé hier, Microsoft propose une offre de CRM dans le cloud pour 31 euros par utilisateur et par mois jusqu'au 30 juin. Dans quelques semaines, il lancera une version iso-fonctionnelle du produit, à installer sur site. Les deux offres peuvent être mixées au sein d'une même organisation.


Voilà plusieurs mois que Microsoft prépare le marché français à l'arrivée de son application de gestion de la relation client en ligne, hébergée sur ses propres datacenters (*). Cette fois, Dynamics CRM Online est officiellement disponible, quatre mois après la mise à disposition de sa version bêta. Solution reposant sur une architecture multitenant, elle est directement concurrente de celle de Salesforce.com, leader mondial incontesté du CRM en ligne. Un rival qui a « ouvert les mentalités » dans ce domaine, a-t-on reconnu ce matin chez Microsoft France.

Comme annoncé, cette version « dans le cloud » précède de quelques semaines le produit à installer sur site, Dynamics CRM 2011, entièrement iso-fonctionnel. Par ce décalage de date, l'éditeur entend manifester une forte implication dans le cloud. Mais il conserve néanmoins deux modes de commercialisation pour son logiciel de CRM, afin de laisser le choix de l'un ou de l'autre à ses clients. Ceux-ci sont même invités à panacher les deux modes entre leurs différents utilisateurs, voire, à passer de l'un à l'autre au fur et à mesure de leurs évolutions. « Il y a une symétrie de développement entre les environnements cloud et 'on premise', souligne Sophie Jacquet, chef de produit chez Microsoft France. On peut mixer les proportions de consommation pour les modifier. »
A noter que sur le marché français (notamment), la version sur site peut également être hébergée chez un partenaire.

Pas de mauvaise surprise sur le prix, assure Microsoft

Aux Etats-Unis, l'offre CRM en ligne de Microsoft existe depuis plus de deux ans. Elle tardait en revanche à arriver en Europe. Sa version bêta, proposée sur 40 marchés depuis septembre 2010, a été téléchargée par 11 500 clients. Lancée mondialement hier, l'application peut être testée gratuitement pendant 30 jours. Et pour tenter de mordre les talons de Salesforce.com, Microsoft propose un prix d'appel jusqu'au 30 juin prochain : 31 euros par utilisateur et par mois, avec un engagement de douze mois. « Sans mauvaise surprise », affirme Sophie Jacquet, en assurant que le logiciel peut s'utiliser tel quel, sans surcoût. Au-delà du 30 juin, le prix passera à 40,25 euros par utilisateur et par mois. En revanche, Microsoft ne fait encore pas d'offres préférentielles de migration pour attirer les clients de Salesforce.com vers son produit Online.          

L'un des intérêts de Dynamics CRM est de pouvoir s'utiliser avec le client de messagerie Outlook. Ce dernier permet notamment de travailler hors connexion sur les données clients, puis de les synchroniser de nouveau avec CRM Online à la connexion suivante. Néanmoins, Outlook n'est pas incontournable. Les utilisateurs qui n'en disposent pas sur leur poste de travail pourront se contenter de l'interface web de Dynamics CRM Online. Attention toutefois, le seul navigateur accepté est Internet Explorer (7, 8 ou 9). On peut aussi recourir à un add-on fourni par un partenaire pour se servir, par exemple, d'un client messagerie Lotus Notes. Par ailleurs, l'intégration avec les services bureautiques en ligne Office 365 est prévue pour ce premier semestre.

Microsoft Dynamics CRM Online
Cliquer ici pour agrandir l'image : le fameux « pipeline » servant à visualiser les opportunités de concrétisation d'affaires sur les prochains mois.

Des offres complémentaires sur la Marketplace

Parmi les nouveautés de Dynamics CRM Online, Sophie Jacquet met en avant les capacités de personnalisation accrue qui permettront aux grands entreprises d'adapter l'application aux flux métiers des grands comptes. A l'autre bout du spectre client, la nouvelle tarification rapproche le produit des PME, desquelles l'éditeur s'était un peu éloigné avec la version 4.0 de son logiciel de CRM. Au passage, la responsable produit rappelle que le logiciel est pré-paramétré dans différents domaines, mais que l'expertise sectorielle est laissée aux partenaires. L'accès à la Marketplace en ligne permet déjà de puiser dans des offres complémentaires. Parmi les apports de la CRM Online, Vincent Poncet, ingénieur avant-vente chez Microsoft, fait remarquer la multiplication des fonctions de reporting : « Les cockpits de pilotage sont omniprésents pour surveiller l'activité de CRM » (capture d'écran ci-dessus). Il rappelle aussi l'intégration avec les réseaux sociaux et les capacités de scripts avancées pour bâtir des scénarios, par exemple, pour qualifier les demandes sur la partie service client.

Logica suit un projet chez Servair
Partenaire privilégié de Microsoft sur sa stratégie cloud, Logica a déjà engagé des réflexions avec plusieurs clients autour de Dynamics CRM Online. Parmi eux figure notamment Servair (restauration pour les compagnies aériennes). « Nous procédons par atelier et au bout de trois semaines, il est déjà possible de montrer au client une application pilote qu'il peut utiliser », explique Jean-François Jarno, directeur associé de Logica Business Consulting. Il confirme par ailleurs que les entreprises intéressées par l'offre se penchent aussi sur les notions de réversabilité entre version online et version sur site.

Actuellement, la base installée de l'offre CRM de Microsoft, lancée depuis 2003, réunit 460 clients dans l'Hexagone. Elle en compte 23 000 dans le monde.


(*) Les datacenters hébergeant Dynamics CRM Online sont situés aux Etats-Unis, en Europe et en Asie. Pour les clients français, l'éditeur s'appuie sur son site de Dublin.

Illustration : Tableaux de bord sur Dynamics CRM Online et interface Outlook pour les utilisateurs de la messagerie (crédit : Microsoft)

Illustration : Tableaux de bord en temps réel sur Dynamics CRM Online et interface Outlook pour les utilisateurs de la messagerie (crédit : Microsoft)

mardi 18 janvier 2011

Microsoft lance WebMatrix, le jeudi 13th Janvier, 2011

Microsoft WebMatrix est un nouvel outil en ligne de développement qui le rend facile pour n'importe qui de créer un nouveau site web.

  • Les utilisateurs peuvent à partir de l'un des intégrés ou modèles en ligne ou à l'un gratuit et open source populaire ASP.NET ou d'applications Web PHP, comme WordPress, Joomla, DotNetNuke ou Umbraco, situé dans la Galerie en ligne d'applications Web ou utiliser un modèle de site Web pré-construites.
  • Les utilisateurs peuvent personnaliser leur site en utilisant l'éditeur de code et base de données dans WebMatrix.
  • Quand un utilisateur est prêt à publier sur leur site, WebMatrix permet d'accéder à des offres de nos partenaires d'hébergement au sein de la galerie d'hébergement, il est facile de choisir le droit d'hébergement partenaire pour l'application en cours de création avec une sélection de forfaits d'hébergement. Une fois un forfait d'hébergement est sélectionnée et configurée, WebMatrix publie ensuite parfaitement le site et base de données sur le Web.
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Microsoft tient le lancement inaugural d'un nouveau produit, Microsoft WebMatrix au CodeMash événement à Sandusky, Ohio le 13 Janvier 2011. CodeMash est un événement organisé par la communauté qui attire un large éventail de membres de la communauté de développement web à travers le, PHP, Ruby, Python et Java communautés ASP.NET.
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lundi 17 janvier 2011

Wikipedia souffle ses dix bougies

Wikipedia souffle ses dix bougies

Edition du 17/01/2011 - par Relaxnews
La célèbre encyclopédie en ligne Wikipédia a fêté samedi 15 janvier ses dix ans d'existence sur la Toile. Le site hébergé par la fondation Wikimédia compte à présent 17 milllions d'articles dans toutes les langues, et revendique la 5ème place du site Internet le plus consulté au monde.


Fondé en janvier 2001, Wikipédia est en partie l'oeuvre de Jimmy Wales, un homme d'affaires américain qui avait pour projet de mettre au point un logiciel permettant de réaliser une encyclopédie libre et accessible en plusieurs langues. Après un premier essai avorté (« Nupedia »), Jimmy Wales lance une seconde tentative, qui sera la bonne, en se basant sur le principe du volontariat et de la collaboration. Les internautes, quelle que soit leur langue, peuvent contribuer à Wikipédia en y apportant des articles ou en réalisant des modifications ou des mises à jour sur les autres textes mis en ligne.

La recette connaît un succès indéniable. En dix ans, Wikipédia a publié pas moins de 17 millions d'articles dans près de 270 langues, de l'anglais au français en passant par l'arabe, l'espagnol, l'occitan, le swahili ou le groenlandais, et dans tous les domaines; histoire, arts, culture, sciences, évènements, géographie, religions, biographies, etc. Selon les données du cabinet ComScore, Wikipédia reçoit chaque mois 410 millions de visiteurs (novembre 2010), et pointe au cinquième rang mondial des sites les plus consultés. L'encyclopédie se réjouit aussi d'être le seul site du top 10 à caractère collaboratif et non lucratif.

Quelques cadavres dans le placard

Dépourvu de publicité, Wikipédia assure son financement par l'argent versé par les donateurs (mécènes, lecteurs, etc.). Pour assurer le développement du site et rémunérer sa trentaine de salariés, la société a levé fin 2010 une campagne de dons qui lui a permis de récolter 16 millions de dollars, soit plus du double qu'en 2009. Si la réactivité de Wikipédia constitue l'un de ses points forts (l'annonce du décès d'une célébrité y est parfois publiée avant certains médias en ligne), la pertinence de ses articles est souvent sujette à controverses, notamment à cause de son système de rédaction ouvert au public. En décembre 2007, une enquête menée par le magazine allemand Stern sur 50 articles pris au hasard avait toutefois révélé que les textes, dans 43 cas, étaient plus précis et plus actualisés que ceux de l'encyclopédie en ligne et payante Brockhaus. En France, le succès du site a eu raison d'une institution littéraire, le Quid, qui a cessé sa parution papier.

Afin de commémorer son dixième anniversaire, Wikipédia lance une série d'événements à travers le monde (150 à ce jour).

Les 10 chiffres clefs de Wikipedia

17 millions : c'est le nombre d'articles que compte Wikipédia début 2011
410 millions : c'est le nombre de visiteurs mensuels sur Wikipédia (chiffres ComScore, novembre 2010)
270 : c'est le nombre de langues utilisées sur Wikipédia
3,5 millions : c'est le nombre d'articles publiés en anglais, première langue sur Wikipédia
1 055 000 : c'est le nombre d'articles disponibles en français, troisième langue du site (après l'anglais et l'allemand)
300 000 : c'est le nombre de contributeurs francophones qui ont participé à la rédaction du million d'articles en français (pour plus de 60 millions de modifications réalisées par les internautes)
30% : c'est la part des articles "Culture et arts" sur Wikipédia. Il s'agit de la catégorie la plus représentée devant "Biographies et personnes" (15%), et "Géographie et lieux" (14%).
344 : c'est le nombre de volumes de l'Encylopedia Britannica qu'il faudrait pour imprimer la totalité des articles de Wikipédia en français.
389 : c'est, en kilo octets, la taille de l'article le plus long publié sur Wikipédia, relatif à l'ordre de succession pour le trône britannique.
550 : c'est le nombre de références à la biographie d'Ion Antonescu, ancien militaire et homme politique roumain (1882-1946). C'est à jour, l'article le plus référencé sur Wikipédia.

TEST / Quelle est la meilleure tablette ?


Alors que se déroule actuellement le salon de l’électronique de Las Vegas (CES), tous les regards des experts se sont, comme nous nous en doutions finalement, portés sur les tablettes, les tablettes et encore les tablettes … 




Nous vous assurons que les constructeurs s’en sont frottés les mains !
Que les paris commencent !
Nous vous l’avions dit ! 2011 sera l’année des tablettes et que le vouliez ou non vous risquez bien de finir accro à ce truc. Plus sérieusement, finalement nous de notre côté chez Socialized.fr on retiens surtout deux tablettes : l’iPad de Apple et le PLayBook de Research In Motion (BlackBerry).
Nous n’allons revenir ce qui fait le succès de l’iPad et ce qui fera le succès de l’iPad 2 mais plutôt nous concentrer dans cet article sur le PLayBook des canadiens de RIM.
Le playbook de RIM en détails :
Plus petit que l’iPad, le PlayBook mesure 7 pouces (17,78 cm) ce qui peut s’avérer plus pratique que la tablette d’Apple car plus ergonomique, plus «pocket style» tout en conservant un écran digne de ce nom.
Du côté du système d’exploitation, il y a finalement 3 grands acteurs, Apple et son iOS, Android de Google et Windows 7. Android HoneyComb 3.0 est en train de s’imposer sur le marché car ce système est Open Source et gratuit, cependant ce n’est pas parce qu’une tablette tourne sous Android que celle-ci tourne bien, le système d’exploitation doit être supporté par de bons composants (Hardware) alors attention aux tablettes Low Cost ! Windows 7 est comme à son habitude à la ramasse (à éviter).
Le PlayBook de RIM dispose de OS propriétaire (le BlackBerry Tablet OS basé sur QNX Software System que RIM avait acquis quelques mois avant). Selon les dernière vidéos qui tournent sur le Net, le PlayBook semble à l’aise dans son OS, il est réactif et très rapide.
Au niveau de la promotion de son produit, RIM se tourne vers une clientèle professionnelle, peut enclin à investir dans un produit parce qu’il est Hype mais plutôt à chercher le produit le plus adapté et le plus utile. RIM l’a compris et appuis dans ce sens son nouveau BB.
L’une des autres forces du PlayBook est la base de clients de RIM (40 millions répartis dans 90 pays et majoritairement des pros). La tablette pourrait alors devenir rapidement le compagnon idéal d’un smartphone BlackBerry, là ou l’iPhone et l’iPad se marchent un peu sur les pieds …
De plus, le PlayBook prendra en charge le Flash, aura un port HDMI, ports USB …
Conclusion :
Au final, s’il y a quelque chose à retenir, c’est que la PlayBook de BlackBerry risque de faire mal, très mal ! Il joue sur un terrain légèrement différent de l’iPad et c’est peut être ce qui fera son succès. Même comme son nom l’indique, en affichant le mot «Play» et «Book», RIM affiche désormais le côté «Fun» ajouté au côté «Boulot» cela pourrait changer l’image de la marque qui avait été critiquée pour produire les smartphones les plus ennuyeux du marché !
Pour finir le prix : 399 euros en version de base.

CLOUD COMPUTING : passage obligé des systèmes d'information

L'informatique dans les nuages suscite l'engouement tant du côté des directions générales que des décideurs IT. Elle promet une facturation à l'usage, une réduction drastique des investissements et une flexibilité accrue lors de la montée en charge de son système d'information. Pour en tirer le meilleur parti, l'entreprise doit disposer des réponses ad hoc qu'il s'agisse de sécurité, de qualité de service, de respect de la réglementation ou de reprise de l'existant. La DSI devra être très attentive aux aspects contractuels, voire optera pour un Cloud privé afin de répondre à certaines contraintes.
CLOUD COMPUTING : passage obligé des systèmes d\'information
Dans le même temps, la palette des applications d’entreprise basculées dans un Cloud s’élargit. Elle englobe désormais des services stratégiques. En France, on citera PagesJaunes Marketing Services – société spécialisée dans le mailing marketing - qui a ouvert un service de gestion de mailings commerciaux à destination de 100 000 TPE et exploité dans un Cloud public depuis quelques mois. L’application a été spécifiquement développée pour cela.
On trouve aussi des usages du Cloud Computing pour de l’hébergement souple d’applications de gestion, pour la mise en ligne de sites Web ou de stockage, du test et du développement de logiciels, des outils collaboratifs, des applications décisionnelles, du BPM (Business Process Management), et du déploiement d’applications métiers destinées à un large usage via internet.
L’offre de Cloud mérite cependant encore des clarifications afin de réaliser les bons arbitrages. Quel Cloud choisir : privé, public, interne ou hybride ? Quels types de services retenir : Paas (Platform as a Service), Iaas (Infrastructure as a Service) ou Saas (Software as a Service) ? Quelles applications basculer dans le Cloud ? Comment marier son système d'information à un Cloud ? Comment contractualiser le recours au Cloud ? Quelle sécurité (confidentialité, récupération, traçabilité, sauvegarde) pour ses données ? Comment respecter les contraintes réglementaires ? Comment changer de fournisseur ?
Outre l’hébergement d’applications virtualisées, le Cloud se décline également en offres verticales via des services dédiés : Testing as a service, Desktop as a service, Database as a service, Data Recovery as a service, Storage as a service, Business Process as a service, Integration as a service, MDM as a Service ou Labs as a service.

Les chiffres Internet clés de l'année 2010

Les chiffres Internet clés de l'année 2010
Edition du 14/01/2011 - par Relaxnews et la rédaction 
La société Pingdom, spécialisée dans les conseils et services Internet, a compilé toute une série de données relatives au web en 2010. Les statistiques sont parfois astronomiques, comme le nombre d'emails envoyés l'an dernier (107 billions), ou le nombre de vidéos vues chaque jour sur YouTube (2 milliards).
Pour sa compilation 2010, Pingdom a recueilli les données annuelles provenant de différentes sources, comme des cabinets d'étude (ComScore, Pew Research Center), Verisign, la société qui gère les noms de domaine .com et .net, des sites spécialisés dans la mesure d'audience Web (StatCounter), ou encore des portails et des réseaux sociaux (Facebook, YouTube, Flickr, Twitter, etc.). En 2010, pas moins de 107 billions d'emails (107 millions de millions) ont été envoyés dans le monde, à un rythme de 294 milliards par jour. Reste que 89,1% de ces messages sont en réalité des spam, expédiés de manière automatique par des serveurs. Au total, la toile comptait l'an dernier 2,9 milliards de comptes email (dont un quart professionnels), pour 1,88 milliard d'utilisateurs actifs (480 millions de plus qu'en 2009). Internet comptait également 255 millions de sites web en fin d'année (dont 88,8 millions en .com). 21,4 millions de nouveaux sites sont apparus sur la toile en 2010.
Du côté du web social, les chiffres les plus importants sont pour Facebook, avec 600 millions d'utilisateurs fin 2010 dont 250 millions de nouveaux membres arrivés en 2010, 3 milliards de photos téléchargées par mois, et 2 milliards de vidéos visionnées tous les mois. Le nombre de "tweets" publiés sur Twitter s'élève à 25 milliards, alors que le nombre de membres de ce site a atteint les 175 millions (+100 millions en un an). 7,7 millions d'entre eux sont des "followers" du compte de Lady Gaga, qui est la personne la plus suivie sur Twitter.
5 milliards de photos sur Flickr

Parmi les autres chiffres intéressants relayés par Pingdom figurent le nombre de blogs sur Internet, qui s'élève à 152 millions, celui du nombre de vidéos vues sur YouTube (2 milliards par jour), ou la quantité de vidéos publiée sur le même site (35 heures de vidéos par minute), et le nombre de photos hébergés par le site de partages d'images Flickr (5 milliards).
Enfin, la toile comptait, à mi-2010, 1,97 milliard d'utilisateurs (+14% en un an). L'Asie concentre la plus forte population d'internautes (825,1 millions), devant l'Europe (475,1 millions), l'Amérique du Nord (266,2 millions), les Amériques centrales et du Sud (204,7 millions), l'Afrique (110,9 millions, soit seulement 1 habitant sur 10), le Moyen-Orient (63,2 millions), et l'Océanie (21,3 millions).

Shazam et Spotify partenaires dans la musique sur mobile

Shazam et Spotify partenaires dans la musique sur mobile


Edition du 14/01/2011 - par Relaxnews
La société de reconnaissance musicale Shazam, et Spotify, spécialisée dans musique en streaming, ont annoncé un partenariat pour créer un nouveau service disponible sur iPhone, iPod Touch, et les smartphones équipés de l'OS Google Android.
En réunissant leurs services dans les applications mobiles pour iPhone et Android, Shazam et Spotify donnent naissance à la fonctionnalité « Jouer dans Spotify ».

Concrètement, l'utilisateur d'un iPhone, d'un iPod Touch ou d'un Google Phone pourra, à partir de l'application mobile Shazam, scanner une chanson diffusée la radio ou dans un lieu public, puis de cliquer sur un lien « Jouer dans Spotify » permettant de réécouter instantanément le morceau complet via l'application Spotify. Cette nouvelle fonctionnalité sera disponible au cours du premier trimestre dans sept pays d'Europe, dont la France, pour les titulaires d'un compte Spotify Premium (9,99 euros par mois).

L'application mobile Shazam propose quant à elle 5 identifications mensuelles dans sa version gratuite. La version payante Shazam Encore, avec des fonctionnalités supplémentaires, est facturée 3,99 euros.

Le BlackBerry Enterprise Server en mode cloud arrive chez RIM

Edition du 14/01/2011 - par Jean Elyan / IDG News Service

Le BlackBerry Enterprise Server en mode cloud arrive chez RIM




Lors du BlackBerry for Business qui rassemblait journalistes et analystes, les responsables de Research in Motion ont annoncé le lancement d'une version cloud du populaire BlackBerry Enterprise Server (BES) d'ici la la fin 2011.


S'ils ont montré à quoi ressemblerait la nouvelle architecture de BES dans le cloud, ceux-ci ont donné peu de détails sur la manière dont ils envisageaient son déploiement. « Le lancement de cette version dépendra des partenaires, par exemple des opérateurs de télécommunications pour l'hébergement du service BES, à moins qu'il ne soit hébergé par RIM lui-même, » a déclaré Pete Devenyi, vice-président de la plate-forme communications chez RIM. « Pour l'instant, nous ne sommes pas encore en mesure de dire comment celui-ci sera mis en place, » a t-il ajouté.

Selon les analystes présents à la conférence, un service cloud permettrait à l'offre BES de s'adresser à un éventail plus large d'entreprises, car certaines ne sont pas intéressées par l'achat de serveur physique. « Les petites entreprises pourraient investir dans un BES hébergé dans un cloud. Même les grandes entreprises pourront délocaliser une partie de leur infrastructure dans le cloud, » a encore déclaré Pete Devenyi lors d'un entretien.

Une unification des services dans le nuage


L'architecture créée par RIM pour installer BlackBerry Enterprise Server dans le cloud permet d'unifier la BlackBerry Messaging Interface avec les différents logiciels, mais aussi la base de données de BES. « L'interface permettra également à des éditeurs de tierce partie de proposer des options à l'intérieur de BES, »  a ajouté Pete Devenyi. Considéré comme le fer de lance de la messagerie sécurisée au niveau mondial, BlackBerry Enterprise Server est largement utilisé par les entreprises financières mais aussi par toutes celles qui ont besoin de protections en matière de cryptage et de sécurité. Pour recevoir des emails et autres messages, les smartphones BlackBerry communiquent en permanence avec le serveur BlackBerry Enterprise Server situé dans le datacenter de leur entreprise. Selon RIM, il existe actuellement plus de 250 000 serveurs BES actifs dans le monde.

jeudi 13 janvier 2011

convertir des textes en fichiers vocaux libres de droit.

Le service Acapela-Box permet d'ouvrir un compte en ligne pour convertir des textes en fichiers vocaux libres de droit.

Acapela-Box  

Prix : De 5 à 300 euros pour convertir en fichier vocal de 715 à 51 000 caractères
Site internet : http://www.acapela-box.com


(13/01/2011) - par Maryse Gros
La technologie de synthèse vocale d'Acapela Group est accessible en ligne sous la forme d'un service qui propose de convertir en paroles les textes qu'on lui soumet. Fournis sous forme de fichiers MP3 ou, désormais, Wave, A-law et mu-law (au standard CCITT), ces messages vocaux peuvent être insérés dans des pages web, au sein de vidéos, notamment dans des applications de e-learning. Libres de droit, ces fichiers peuvent être utilisés pour des projets commerciaux (en cas de diffusion radiophonique ou télévisée, il faut d'abord contacter l'éditeur).

Pour accéder au service, il faut ouvrir un compte sur le site Acapela-Box et choisir l'une des options tarifaires : de 5 euros (pour 715 caractères et environ 47 secondes de synthèse vocale) jusqu'à 300 euros (51 000 caractères, soit environ 56 minutes 40). On saisit un message, on le réécoute autant de fois que souhaité, puis on génère un fichier son à télécharger. Dans la foulée, le compte est débité du nombre de caractères utilisés. On générera autant de messages que possible dans la limite du nombre de caractères achetés. Il est possible de modifier le débit de la parole, le ton de la voix ou la prononciation d'un mot. On peut également insérer une pause dans le texte et changer de voix synthétisée masculine ou féminine au sein du même message.

Un algorithme régulièrement amélioré

Dans son compte, l'utilisateur suit l'historique de ses actions. Chaque fichier ne peut être téléchargé que cinq fois, mais il peut être ensuite régénéré à partir du texte d'origine et des paramètres conservés. Acapela avertit qu'il améliore régulièrement son algorithme de synthèse vocale (une à deux fois par an) et que cela peut modifier le rendu obtenu avec le fichier généré lors de la première conversion. Il est donc fortement conseillé de sauvegarder les messages vocaux que l'on veut garder en l'état.

mercredi 12 janvier 2011

Bouygues Telecom prêt à proposer les appels illimités vers les mobiles (MAJ)

Bouygues Telecom prêt à proposer les appels illimités vers les mobiles



Edition du 12/01/2011 - par Serge Leblal

Après Free et SFR, l'opérateur Bouygues Telecom devrait prochainement inclure les appels en illimité vers les mobiles depuis sa BBox. Selon le site BBox News qui rassemble la communauté des clients de BT, l'opérateur devrait ainsi suivre l'exemple de Free et de SFR et annoncé ce service le 17 janvier prochain. Free et SFR ont déjà indiqué que les appels vers les numéros mobiles depuis un poste fixe seront désormais gratuits pour leurs abonnés triple play.

Pour l'heure, Bouygues Telecom propose à ses clients BBox 3 heures d'appels gratuits vers les mobiles par mois dans son abonnement ADSL facturé 39,90 euros/mois.

(MAJ) L'opérateur a indiqué qu'il ne répercuterais pas la hausse de la TVA pour ses forfaits mobiles. Par contre, l'offre ADSL, Bbox augmentera de 1,88 euros par mois. L'offre fibre n'est pas impactée par cette hausse.

Riverbed s'attaque aux clouds privés et publics

Riverbed s'attaque aux clouds privés et publics

Edition  - par Jacques Cheminat avec IDG NS

Le spécialiste de la performance informatique a dévoilé deux produits qui s'adressent aux entreprises qui souhaitent migrer vers des clouds privés ou publics. Cloud Steelhead et Whitewater.

Riverbed poursuit son évolution dans les outils de performance informatique. Après l'optimisation des applications pour les environnements difficiles avec Virtual Steelhead, l'équipementier s'attaque aux clouds et à la migration des entreprises vers les nuages privés et publics. Pour Apurva  Davé, vice-président du marketing produit de Riverbed, « le cloud concentre deux problématiques, la gestion de la croissance des données échangées  et les questions de bande passante (latence, temps de réponse). Pour répondre à ces questions, Riverbed propose deux produits.

Le premier a été baptisé Cloud Steelhead. Il s'agit  d'une version de l'appliance Steelhead de Riverbed qui est en charge de l'optimisation WAN.  Cet outil comprend des modules complémentaires qui  accélère la circulation des données vers et depuis les centres de données des fournisseurs de clouds, sans nécessiter la reconfiguration des réseaux des entreprises ou des prestataires. Le trafic ainsi optimisé accélère l'exécution des applications dans le cloud public, rendant ainsi cet environnement plus attractif financièrement que garder certaines applications dans un cloud privé. Cet équipement est compatible pour l'instant avec le cloud public EC2 d'Amazon. Il est livré avec un logiciel baptisé, Discovery Agent, qui se connecte au module de gestion de Riverbed, hébergé chez Amazon.  Ce portail crée un lien logique entre une appliance Steelhead installée sur un site d'entreprise (ou un client Steelhead Mobile sur un ordinateur individuel) et le serveur recherché. Apurva Davé souligne « le déploiement d'une telle solution est rapide et évolutive, si une entreprise à besoin d'une autre instance, elle est opérationnelle en quelques minutes ». En ce qui concerne le prix, Riverbed a adapté sa tarification en fonction de la bande passante, il faut compter 250 dollars pour un lien à 1 Mbits.

Le stockage optimisé

Le second produit répond au nom poétique de Whitewater. Cette solution est utilisée par les fournisseurs sauvegarde et d'archivage en mode cloud. Elle permet la transformation des protocoles (CIFS, NFS, etc...) de stockage entre les datacenter d'entreprise et ceux des prestataires de stockage cloud. Elle réduit le nombre d'octets qu'il faut pour stocker des données dans le cloud et les crypte aussi pour ne pas être lus pendant le transfert ou quand elles sont stockées, souligne Riverbed. Le produit, qui sera vendu comme un logiciel ou un équipement physique, déduplique le trafic et le sécurise en utilisant un chiffrement AES 256. Il stocke les clés de chiffrement et renvoie les données dédupliquées stockées dans sa forme initiale quand elles sont récupérées sur le cloud. Whitewater est compatible avec EMC Atmos, AT & T Synaptic Storage as a Service et Amazon S3. Ce produit qui se déclinera en version small, medium et large est vendu en tranches en fonction du nombre d'octets de données stocké dans le cloud. Le coût pour 1 To de stockage est de 12 000 dollars.

mardi 11 janvier 2011

Mouse WiFi - H.P.

Mouse WiFi  

Prix : NC
Site internet : n.c.


par Jacques Cheminat avec IDG News Service
HP a annoncé sur son blog qu'il allait commercialiser au printemps prochain une souris WiFi. Ce périphérique ne sera plus équipé d'un dongle USB comme ces homologues qui se connectent en bluetooth. La souris de HP libère un port USB, mais sera plus économe en batterie selon le constructeur. Il indique également que le WiFi aura plus de portée que la technologie Bluetooth. Il est probable que la souris intègrera une puce d'Ozmo Device (Ozmo 2000), compatible avec le standard SoftAP (Software-based Access Point) qui est intégré dans Windows 7 et permet à un périphérique WiFi de se connecter directement à l'ordinateur sans passer par un point d'accès.

HP indique par ailleurs que cette souris fonctionnera sur toutes les surfaces et ne produira pas d'interférences avec les autres équipements électroniques. Dotée de boutons programmables pour des raccourcis, il reste néanmoins deux énigmes à ce teasing d'HP, le nom et le prix de cette souris. Encore un peu de patience.

jeudi 6 janvier 2011

Les codes 2D

Voici un blog qui explique bien ce que sont les Codes 2D
                http://photos1.blogger.com/blogger/727/2093/1600/edison-mobiletag-n2.png                              http://photos1.blogger.com/blogger/2460/2093/1600/edison_mobile_remake_n1_shotcode.png
Pour ceux qui ont un Iphone remplacer l'application "Shotcode" par "2DCodeMe-QR"

Autre site 1
Autre site 2


Le leader national de l’affichage indoor Nect One, a choisit de s’associer à bookBeo, agence de marketing mobile spécialisée dans les codes 2D, pour rendre ses affiches interactives. Motorsport Academy est le premier client à tester ces affiches « nouvelle génération ».

EVO 4G - HTC - Premier smartphone Android à se connecter sur un réseau 4G



EVO 4G  

Prix : 200 dollars
Site internet : n.c.


  Par Serge Leblal
Premier smartphone Android à se connecter sur un réseau 4G, l'EVO 4G de HTC bataille dans la catégorie haut de gamme. Il est ainsi équipé d'un des plus gros écran tacile avec 4,3 pouces (idéal pour la vidéo). Autres caractéristiques : un processeur Qualcomm Snapdragon à 1 Ghz, une double caméra (appareil photo/caméscope 8 MP autofocus HD, et caméra frontale 1,3 MP), interface maison Sense. Pour l'instant réservé au marché américain avec l'opérateur Verizon qui a commencé a déployé son réseau 4G/LTE dans certaines grandes villes du continent, le HTC Evo 4G coûte 200 $ avec un abonnement de deux ans.

CES 2011 : Asus et PrimeSense adaptent la technologie Kinect aux PC


CES 2011 : Asus et PrimeSense adaptent la technologie Kinect aux PC



Edition du 05/01/2011 - par Relaxnews et la rédaction

Asus va dévoiler au CES de Las Vegas (du 6 au 9 janvier) un accessoire pour PC similaire à la Kinect de Microsoft pour les consoles de jeux Xbox. Baptisé "Wavi Xtion", cet appareil doté de caméras est capable de reconnaître gestes et mouvements de l'utilisateur afin que ce dernier puisse interagir avec son PC sans passer par une souris ou un clavier.
Après la Kinect pour les jeux vidéo, voici donc la Wavi Xtion pour les ordinateurs. Cet accessoire, présenté dans quelques jours par Asus au Consumer Electronics Show de Las Vegas, est développé par PrimeSense, une société israélienne à l'origine du Kinect de Microsoft. Les caméras du Wavi Xtion assurent une reconnaissance gestuelle, et permettent ainsi à l'utilisateur de gérer, par des déplacements de la main dans l'air, plusieurs applications sur son ordinateur (multimédia, Internet, réseaux sociaux, etc.), ainsi que les interactions entre son PC et sa télévision. Le Wavi Xtion sera commercialisé à partir du deuxième trimestre 2011. Les développeurs pourront lui apporter différentes applications, proposées en ligne sur le Xtion Store.

De son côté, Microsoft ne compte pas limiter la reconnaissance gestuelle à sa seule console Xbox. Le géant du logiciel a récemment racheté Canesta, une société spécialisée dans la détection des mouvements en 3D, et pourrait bien transposer cette technologie à son système d'exploitation Windows.

mercredi 5 janvier 2011

CES 2011 : Asus dévoile pas moins de 3 tablettes Android

CES 2011 :Asus dévoile pas moins de 3 tablettes Android

Edition du 05/01/2011 - par Relaxnews et la rédaction

Asus dévoile au salon CES de Las Vegas, qui ouvre ses portes jeudi 6 janvier, quatre nouvelles tablettes tactiles. Un modèle tourne sous Windows 7, tandis que les 3 autres reposent sur la plateforme Google Android.
Pionnier des netbooks il y a trois ans avec son célèbre Eee PC, Asus espère trouver une petite place sur le marché des tablettes tactiles aujourd'hui dominé par l'iPad d'Apple. La gamme d'ardoises numériques du groupe taïwanais s'appelle d'ailleurs Eee Pad, et se compose, à son lancement, de quatre références : Eee Pad Slider, Eee Pad Transformer, Ee Pad MeMo et Eee Pad Slate.

L'Eee Pad Slider est un modèle hybride entre la tablette et le netbook. Composé d'un écran tactile 10,1 pouces, cet appareil s'équipe également d'un clavier physique coulissant. Le Slider peut donc s'utiliser en tablette pure pour des activités multimédia, ou en mini-PC portable, pour des tâches de bureautique. Techniquement, il tourne sous Google Android (version 3.0), se dote de deux caméras (5 mégapixels à l'arrière et une webcam 1,2 mégapixel à l'avant), et fait appel à une puce Nvidia Tegra 2. En plus du WiFi, un modem 3G est proposé en option pour se connecter à Internet sur les réseaux mobiles.

Autre tablette sous Android, l'Eee Pad Transformer se présente sous la forme d'une tablette 10,1 pouces livrée, en option, avec un clavier physique détachable. Connecté à cet accesoire, ce terminal offre jusqu'à 16 heures d'autonomie. Il reprend les mêmes fonctionnalités que le Slider (WiFi, 3G, vidéo Full HD, 2 capteurs photo/vidéo, etc.). L'Eee Pad MeMo, également badgée Android, est plus compacte (7,1 pouces). Cette tablette tactile peut être contrôlée par glissement du doigt, ou par stylet, pour la prise de notes rapide.

Une erreur de casting, une tablette sous Windows 7

Enfin, l'Eee Pad Slate est une tablette qui fonctionne sous le système d'exploitation Windows 7 de Microsoft. Plus grande (12,1 pouces), elle utilise un écran à LED haute résolution (1280 x 800) offrant un angle de visualisation de 178 degrés. Cette tablette est animée par un microprocesseur Intel Core i5, embarque 32 ou 64 Go de mémoire flash SSD, 4 Go de mémoire vive, le WiFi, le Bluetooth 3.0, une caméra 2 mégapixels, un mini-port HDMI, et deux ports USB. Elle peut également fonctionner avec un clavier Bluetooth optionnel. Un vrai PC donc, Asus a tout compris au marché...

Côté tarifs et disponibilités, les trois tablettes Asus sous Android débarqueront sur le marché au printemps (avril/mai), à des prix variant, selon la capacité de stockage, de 499 et 799 dollars pour le Slider, de 499 et 699 dollars pour le MeMo, et de 399 et 699 pour le Pad Transformer. Le Slate sera commercialisée courant janvier, à un prix compris entre 999 et 1099 dollars. Les tarifs européens ne sont pas encore connus.

Samsung annonce la 1ere barrette DDR4

Samsung annonce le premier module DRAM DDR4

Edition du 05/01/2011 - par Jean Elyan et Serge Leblal avec IDG NS

Samsung Electronics a terminé le développement du premier module de mémoire DRAM DDR4, aux performances sont deux fois plus supérieures à celles de la DRAM DDR3 actuelle, et consommant également 40% d'énergie en moins. Un dernier point particulièrement intéressant pour les PC portables.
Pour élaborer ce composant DDR4, Samsung a fait appel à une technologie de gravure en 30 nanomètres (nm), réalisant son plus petit circuit à ce jour. Selon le fondeur, cette architecture permettra aux modules DDR4 d'effectuer des taux de transfert de 2,133 Gbit /sec à 1,2 volts, contre 1,35 volts et 1,5 volts pour une DRAM DDR3 à des vitesses allant jusqu'à 1,6 Gbit/sec. Comparativement, la DDR2 ne dépasse pas 800 Mbit/sec. Surtout, comparé à une DRAM DDR3 à 1.5V, le module DDR4 permet de réduire la consommation d'énergie de 40 % sur un notebook, comme l'indique Samsung. Ces économies en énergie résultent aussi de l'utilisation de la technologie Pseudo Open Drain (POD), laquelle, adaptée à la haute performance graphique de la DRAM, permet à la DDR4 de consommer moitié moins d'électricité que la DDR3 lors de la lecture et de l'écriture des données.

Depuis fin décembre, Samsung a fourni pour test à un fabricant de contrôleurs des modules de mémoire en ligne DDR4 (UDIMM) d'une capacité de 2 Go à 1,2 V. Le coréen prévoit également de travailler en étroite collaboration avec un certain nombre de constructeurs de serveurs pour contribuer à faire normaliser la DDR4 auprès de la JEDEC, l'organisme chargé de valider les normes de la mémoire vive, d'ici le second semestre 2011.
Une technologie capable de remonter les prix de la DRAM

Parallèlement à l'annonce de Samsung, une étude publiée par iSuppli a montré que les prix de la DRAM continuaient de baisser. En décembre, ceux-ci ont même atteint leur plus bas niveau de l'année 2010. Ainsi, au 10 décembre, le module de 2 Go DRAM DDR3 s'affichait à 21 dollars US, soit plus de 50% moins cher que son prix (44,40 dollars US) six mois auparavant. Selon les chiffres communiqués par iSuppli, cette baisse ne concerne pas seulement la DDR3, puisque le prix de la DRAM DDR2 a également chuté à 21,50 dollars en décembre, contre 38,80 dollars US en juin. « De manière générale, le prix de la DRAM a été affecté par une demande en PC modérée - surtout pendant la première moitié de 2010 - ainsi que par une plus grande offre de produits utilisant de la mémoire  au cours du second semestre 2010, » a déclaré Mike Howard, analyste principal chez iSuppli. Celui-ci indique par ailleurs que rien ne semble pouvoir arrêter l'effondrement des prix de la DRAM. « Si la DDR3 atteint 1 dollar par gigaoctet, les fabricants seront obligés de ralentir leur production, dans la mesure où le coût de production sera supérieur au prix de vente, » a-t-il déclaré.
Cette baisse des prix a également été confirmée par la société de négoce DRAMeXchange basée à Taiwan. Selon elle, les prix des puces DRAM ont atteint un bas niveau en 2010 en raison de la surabondance qui a suivi la période des vacances. Mais pour Dong Soo Jun, président de la division mémoire chez Samsung, « la nouvelle mémoire green de pointe DRAM DDR4 va rétablir la confiance, en particulier quand des modules de 4 Go équiperont des produits grand public. »